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Algérie
Quelques réflexion sur le texte introductif et les cinq (05) thématiques concernant le Forum Mondial de la Fi-CEMEA 2003

A - réflexion sur le texte introductif

1 - En ce qui concerne l’idée : “ Tout être humain peut se développer et même se transformer au cours de sa vie. Il en a le désir et les possibilités ”

Concernant la question relative au titre précédemment énoncé : Acte de foi ou constat objectif ? Cette idée ne peut devenir une réalité concrète que si les- moyens sont fournis pour sa rèalisation.

Ces moyens doivent être plus renforcés en direction des pays sous développés parmi lesquels notre pays.

Pour ce qui est des exclus : il ya une possibilité d’action en leur faveur à condition que les membres actifs des associations reçoivent une aide consistante de la part de la FI-CEMEA.

La FI-CEMEA peut contribuer d’une manière très efficace dans l’action du développement de l’éducation non formelle en motivant les membres des associations et les dirigeant de ces associations dans le sens d’une éducation nouvelle. La motivation de ces agents est facile à trouver : il ne s’agit que de bien réfléchir dans ce sens.

2 - En ce qui concerne l’idée “ la personne est un tout ”

Des méthodes d’éducation doivent prévoir au sujet de cette question des méthodes qui doivent prendre en compte la réalité du pays sous développé et les grandes difficultés que chacun de ses pays endure.

Une équipe doit être créée en se spécialisant pour développer une méthode et une stratégie spécifiques pour chaque pays et chaque contrée.

Le “ tout ” de la personne vivant dans une réalité de sous développement est très particulier.

3 - En ce qui concerne l’idée : “ l’éducation doit se fonder sur l’activité essentielle dans la formation personnelle et dans l’acquisition de la culture ”

Le danger du virtuel peut être plus prononcé pour un pays sous développé. Si dans un pays développé : l’éducation par le virtuel est un développement du processus éducationnel depuis l’éducation réelle, telle n’est pas le cas pour un pays sous développé.

D’où la nécessité de créer une commission spécialisée qui doit réfléchir : sur la recherche de solutions pour faire éviter les conséquences néfastes d’une éducation virtuelle dans un pays sous développé, et déduire les possibilités de l’utilisation de cette éducation dans le développement des jeunes de ce pays.

4 - En ce qui concerne l’idée : “ l’être humain est un être social ”

Toute la problématique exposée dans ce volet doit être ajustée aussi en fonction de chaque pays notamment les plus sous développés.

B - Réflexion sur fa thématique 1

 Les idées développées -dans cette thématique sont d’autant plus importantes chez nous où le système éducationnel formel est plus défaillant.

C - Réflexion sur la thématique 2

Les effets de la globalisation sont plus menaçant pour un pays sous développé : réfléchir collectivement avec l’appui des chercheurs des pays développés en collaboration avec les chercheurs issus de pays sous développés pourrait contribuer à imaginer les solutions permettant de parer aux effets néfastes de cette globalisation.

D - Réflexion sur la thématique 3

Aborder la question de la laïcité directement dans un pays encore en phase de transformation risque d’être un élément de blocage et un frein, pouvant être un facteur culpabilisateur ayant pour conséquence des inhibitions ou des refus.

A sa place et par souci pédagogique il faut faire développer le sens démocratique et de justice contre lesquels aucune conviction extrémiste soit elle , ne peut y déroger ou au moins ne trouve de prétexte de s’y soustraire ou échapper à moins d’êtr e exclue.

E - Réflexion sur la thématique 4

Le développement de l’éducation de la citoyenneté dans tout le monde ne peut se promouvoir que par l’action réelle et concrète des associations des pays démocratiques et des instances qui croient à la démocratie vers les pays en voie de développement. Ceci ne peut se mettre en mouvement que par la découverte des moyens de communication qui permettent d’agir dans ce sens.

F - Réflexion sur la thématique 5

Dans ce cas l’action des associations des pays développés est plus importante. Dans ce sens il faudrait créer une commission composée de représentants de tous les pays développés et sous développés afin de trouver les méthodes qui poussent les médias des pays qui diffusent des information partout dans le monde afin qu’elles intègrent des émissions pour la très bonne l’éducation d’une manière adaptée pour les pays sous développés ou pauvres.




Maj :12/06/2006
Auteur : ficemea