Rapport d’évaluation de la Stratégie de la CEE pour l’éducation en vue du développement durable

« Apprendre les uns des autres: réalisations, difficultés et marche à suivre »

Le  présent  document  fait  la  synthèse  des  progrès  accomplis  par  les  États membres de la Commission économique pour l’Europe (CEE) dans la mise en œuvre de la Stratégie de la CEE pour l’éducation en vue du Développement durable de 2005 à 2015, en accordant une large place à la troisième phase de mise en œuvre (2011-2015) sur la base des 38 rapports nationaux d’exécution soumis pour cette phase par les États membres.

Le rapport disponible ici : https://www.unece.org/fileadmin/DAM/env/esd/11thMeetSC/Documents/1521609F.pdf

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Publication : Education à la culture de la paix, aux droits humains, à la citoyenneté, à la démocratie et à l’intégration régionale – Manuel de référence de la CEDEAO, à l’usage de la formatrice/du formateur de formateurs/formatrices

Le  but  ultime  du  Manuel  est  de  former  une  masse  critique  de  citoyens  de  la  CEDEAO  dotés non  seulement  des  compétentes  requises  dans les  domaines  cognitifs  et  psychomoteurs  de l’éducation,  mais  également  des  compétences affectives  relatives  aux  valeurs,  attitudes  et comportements   positifs   promouvant   la   paix, la  tolérance  et  une  coexistence  pacifique  des citoyens de la communauté.

Le document est disponible ici : http://unesdoc.unesco.org/images/0022/002211/221128f.pdf

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UNESCO : Éducation à la citoyenneté mondiale – Préparer les apprenants aux défis du XXIe siècle

Ce document a été préparé pour les responsables de l’élaboration des politiques chargés de l’éducation, les praticiens, les organisations de la société civile et les jeunes de toutes les régions du monde qui souhaitent apporter aux apprenants les connaissances, les compétences et les valeurs dont ils ont besoin pour prospérer en tant que citoyens du monde au XXIe siècle.

Cette publication est disponible ici : http://unesdoc.unesco.org/images/0023/002300/230062f.pdf

 

English version

UNESCO: Global Citizenship Education- Preparing learners for the challenges of the twenty-first century

This document has been prepared for education policy makers, practitioners, civil society organizations and young people from all regions of the world with an interest in equipping learners with the knowledge, skills and values they need to thrive as global citizens in the twenty-first century.

This publication is available here: http://unesdoc.unesco.org/images/0022/002277/227729E.pdf

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eAtlas de l’UNESCO des inégalités entre les sexes dans l’éducation

Avec l’adoption de l’Objectif 4 de développement durable, les gouvernements se sont engagés à éliminer les disparités entre les sexes et à veiller à ce que chaque enfant soit scolarisé et apprenne d’ici 2030. Pourtant, un enfant sur huit âgé de 6 à 15 ans est privé d’éducation de base, et les filles sont les premières exclues. Plus de 63 millions de filles sont non scolarisées et les données semblent indiquer que ce nombre augmente.

L’eAtlas des inégalités entre les sexes dans l’éducation présente un large éventail de données désagrégées par sexe produites par l’Institut de statistique de l’UNESCO (ISU) pour tous les niveaux d’enseignement. Mis à jour avec les dernières données disponibles, l’eAtlas permet aux lecteurs d’explorer les parcours scolaires des filles et des garçons dans plus de 200 pays et territoires. Les cartes et les tableaux de classement, facilement intégrables dans un site web et un blog, peuvent également être utilisés pour évaluer dans quelle mesure les disparités entre les sexes en matière d’éducation évoluent dans le temps.

Afin de mieux évaluer l’ampleur des inégalités entre les filles et les garçons, il est possible d’utiliser l’indice de parité entre les sexes (IPS), défini comme la valeur d’un indicateur donné relative aux filles divisée par la valeur relative aux garçons. Un IPS dont la valeur est égale à 1 indique qu’il n’existe aucune différence entre les filles et les garçons pour un indicateur donné. Un IPS inférieur à 1 indique une disparité entre les sexes en faveur des garçons, et les valeurs supérieures à 1 le contraire. Pour l’UNESCO, un IPS situé entre 0,97 et 1,03 est le reflet de la parité entre les sexes.

L’ISU recueille des données par le biais de ses enquêtes annuelles et de ses partenariats avec d’autres organisations, comme l’OCDE et Eurostat. L’Institut est la source de données officielle utilisée pour effectuer le suivi des objectifs internationaux en matière d’éducation et d’alphabétisme.

COMMENCER

L’eAtlas de l’UNESCO vous permet de :

  • Consulter des indicateurs sélectionnés au niveau mondial, régional ou national ;
  • Consulter toutes les données des tableaux de classement et des graphiques en même temps que les cartes ; et
  • Exporter des cartes et des données pour les utiliser dans un exposé, imprimer un chapitre et partager et intégrer des cartes et des graphiques dans des sites de médias sociaux.

Choisissez un thème dans les onglets Section pour lire le résumé et sélectionnez un indicateur pour commencer l’exploration. Vous pouvez aussi utiliser le champ de recherche pour chercher un indicateur spécifique.

Pour toute question concernant les données, veuillez vous reporter à l’onglet Méthodologie en pied de page, au glossaire de l’ISU des termes statistiques et à la foire aux questions sur les statistiques de l’éducation.

URL : http://on.unesco.org/gender-mapFR
Pour plus d’informations ou pour nous faire part de vos commentaires : uis.publications@unesco.org

 

Consulter l’article  ICI

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AUJOURD’HUI LE MAROC : Contre le business sauvage des écoles privées, une coalition voit le jour

Lutter contre le développement incontrôlé de l’enseignement privé et de la disparition de l’école publique. C’est le combat de la «coalition francophone contre la marchandisation de l’éducation» nouvellement créée et à laquelle la société civile marocaine, représentée par le Mouvement Anfass démocratique, prend part.

Cette coalition vient de voir le jour ce mardi 15 mars 2016 à Paris à l’issu d’une rencontre débat initiée par la Clinique de l’École de Droit de Sciences Po Paris et six associations.

Objectif : coordonner les initiatives existantes dans les pays francophones pour contrer le mouvement de la privatisation des systèmes éducatifs.

Et le Maroc est concerné par ce problème. En effet, selon un rapport d’un collectif d’ONG marocaines publié en 2015,  quelque 191 écoles primaires et secondaires ont été fermées entre 2008 et 2013 dans le pays, notamment à  Rabat et Casablanca. Le rapport indique que d’autres écoles publiques sont menacées de fermeture, ce qui dénote du « recul de l’engagement étatique pour une éducation pour tous, gratuite et de qualité » au Maroc. De même, le document souligne que la part d’élèves dans le privé au primaire est passée de 4 % en 1999 à 15 % en 2015.

A ce sujet, le Maroc avait même été pointé du doigt en septembre 2014 par le comité des droits économiques, sociaux et culturels des Nations unies déplorant que l’école privée soit « une source de ségrégation » au Maroc.

Par ailleurs, dans une note de cadrage, la Coalition francophone contre la marchandisation de l’éducation relève que «chaque année, davantage d’entrepreneurs locaux et d’entreprises multinationales investissent à grande échelle dans le marché jugé très lucratif de l’éducation. Et ce y compris en proposant des services à bas coût, de mauvaise qualité, et visant les populations pauvres».

Ainsi pour la Coalition qui a lancé mardi 15 mars 2016 un appel de la société civile francophone contre la marchandisation de l’éducation et des systèmes éducatifs, l’impact de ce phénomène en termes de contenus éducatifs, de ségrégation territoriale et d’inégalités sociales, et plus généralement de réalisation des droits de l’Homme, en font un défi majeur pour les acteurs et les défenseurs du droit à l’éducation de tous tout au long de la vie.

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ESTEVAL EDITIONS : La société civile francophone se mobilise contre la marchandisation de l’éducation dans le monde

A l’occasion de la Semaine de la langue française et de la Francophonie, une coalition d’organisations francophones de la société civile1 s’est mobilisée contre la marchandisation de l’éducation, le 15 mars 2016, au siège de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Cette mobilisation fait suite, au niveau international, à une croissance sans précédent des acteurs privés dans l’éducation durant les dernières années, notamment dans les pays à faibles revenus, qui est sur le point de transformer totalement des systèmes éducatifs déjà fragiles. De nombreux investisseurs, notamment des entreprises multinationales, s’impliquent à grande échelle dans le marché jugé très lucratif de l’éducation. Et ce y compris en proposant des services à bas coût, de mauvaise qualité, et visant les populations pauvres. L’impact de ce phénomène en termes de qualité des contenus éducatifs, de ségrégation territoriale et d’inégalités sociales, et plus généralement de réalisation des droits de l’Homme, en font un défi majeur pour les acteurs et les défenseurs du droit à l’éducation de tous tout au long de la vie. Cette tendance a été dénoncée par plusieurs rapports, résolutions, et recommandations de l’ONU ou récemment, de la Commission Africaine des droits de l’Homme.

Pour faire face à ce phénomène, les organisations de la société civile à travers le monde francophone ont décidé de lancer une dynamique de mise en réseau, dont le colloque du 15 mars a constitué la première pierre. La réunion a fédéré un groupe unique de chercheurs, acteurs associatifs et syndicaux issus de trois continents, spécialisés dans le domaine de l’éducation ou des droits de l’Homme. Cette journée de réflexion s’est articulée autour des témoignages d’intervenants d’Haïti, du Maroc et du Burkina Faso. Ces réalités de terrain ont été mises en perspectives avec les travaux menés sur le sujet par les chercheurs et les ONG depuis plusieurs années.

Au-delà de l’échange d’expertise, ces apports visent à alimenter l’écriture d’un « Appel de la société civile francophone contre la marchandisation de l’éducation et des systèmes éducatifs », qui sera adressé aux Etats francophones en vue du Sommet de Madagascar de novembre 2016. Cette déclaration commune se fondera sur le respect du droit à l’éducation, la prise en compte des acteurs engagés pour le promouvoir et le renforcement du rôle des Etats et des services publics.

Cette journée de discussion et d’approfondissement a été suivie d’une conférence publique, introduite par M. Georges NAKSEU-NGUEFANG, directeur de la Direction Affaires publiques et Gouvernance Démocratique de l’OIF, et d’un cocktail.

http://www.coalition-education.fr/

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LE COURRIER FINANCIER : La société civile francophone se mobilise contre la marchandisation de l’éducation dans le monde

Responsabilité sociale – A l’occasion de la Semaine de la langue française et de la Francophonie, une coalition d’organisations francophones de la société civile se mobilise contre la marchandisation de l’éducation, le 15 mars 2016, au siège de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Cette mobilisation fait suite, au niveau international, à une croissance sans précédent des acteurs privés dans l’éducation durant les dernières années, notamment dans les pays à faibles revenus, qui est sur le point de transformer totalement des systèmes éducatifs déjà fragiles. De nombreux investisseurs, notamment des entreprises multinationales, s’impliquent à grande échelle dans le marché jugé très lucratif de l’éducation. Et ce y compris en proposant des services à bas coût, de mauvaise qualité, et visant les populations pauvres. L’impact de ce phénomène en termes de qualité des contenus éducatifs, de ségrégation territoriale et d’inégalités sociales, et plus généralement de réalisation des droits de l’Homme, en font un défi majeur pour les acteurs et les défenseurs du droit à
l’éducation de tous tout au long de la vie. Cette tendance a été dénoncée par plusieurs rapports, résolutions, et recommandations de l’ONU ou récemment, de la Commission Africaine des droits de l’Homme.

Une journée de réflexion à Paris
Pour faire face à ce phénomène, les organisations de la société civile à travers le monde francophone ont décidé de lancer une dynamique de mise en réseau, dont le colloque du 15 mars constituera la première pierre. La réunion, qui se déroulera au siège de l’organisation internationale de la Francophonie, doit fédérer un groupe unique de chercheurs, acteurs associatifs et syndicaux issus de trois continents, spécialisés dans le domaine de l’éducation ou des droits de l’Homme. Cette journée de réflexion s’articulera autour des témoignages d’intervenants d’Haïti, du Maroc et du Burkina Faso. Ces réalités de terrain seront mises en perspectives avec les travaux menés sur le sujet par les chercheurs et les ONG depuis plusieurs années.

Au-delà de l’échange d’expertise, ces apports visent à alimenter l’écriture d’un « Appel de la société civile francophone contre la marchandisation de l’éducation et des systèmes éducatifs », qui sera adressé aux Etats francophones en vue du Sommet de Madagascar de novembre 2016. Cette déclaration commune se fondera sur le respect du droit à l’éducation, la prise en compte des acteurs engagés pour le promouvoir et le renforcement du rôle des Etats et des services publics. Cette journée de discussion et d’approfondissement va s’achever par une conférence publique, introduite par M. Georges Nakseu-Nguefang, directeur de la Direction Affaires publiques et Gouvernance Démocratique de l’OIF.


Publié le : 10/03/2016 à 19:37

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SAVOIRS & CONNAISSANCES : Une mobilisation contre la marchandisation de l’éducation dans le monde

A l’occasion de la Semaine de la langue française et de la Francophonie, une coalition d’organisations francophones de la société civile se mobilise contre la marchandisation de l’éducation, le 15 mars 2016, au siège de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF : 19-21 Avenue Bosquet, 75007 Paris).

Cette mobilisation fait suite, au niveau international, à une croissance sans précédent des acteurs privés dans l’éducation durant les dernières années, notamment dans les pays à faibles revenus, qui est sur le point de transformer totalement des systèmes éducatifs déjà fragiles.

De nombreux investisseurs, notamment des entreprises multinationales, s’impliquent à grande échelle dans le marché jugé très lucratif de l’éducation. Et ce y compris en proposant des services à bas coût, de mauvaise qualité, et visant les populations pauvres.

L’impact de ce phénomène en termes de qualité des contenus éducatifs, de ségrégation territoriale et d’inégalités sociales, et plus généralement de réalisation des droits de l’Homme, en font un défi majeur pour les acteurs et les défenseurs du droit à l’éducation de tous tout au long de la vie. Cette tendance a été dénoncée par plusieurs rapports, résolutions, et recommandations de l’ONU ou récemment, de la Commission Africaine des droits de l’Homme.

Pour faire face à ce phénomène, les organisations de la société civile à travers le monde francophone ont décidé de lancer une dynamique de mise en réseau, dont le colloque du 15 mars constituera la première pierre.

La réunion fédérera un groupe unique de chercheurs, acteurs associatifs et syndicaux issus de trois continents, spécialisés dans le domaine de l’éducation ou des droits de l’Homme. Cette journée de réflexion s’articulera autour des témoignages d’intervenants d’Haïti, du Maroc et du Burkina Faso. Ces réalités de terrain seront mises en perspectives avec les travaux menés sur le sujet par les chercheurs et les ONG depuis plusieurs années.

Au-delà de l’échange d’expertise, ces apports visent à alimenter l’écriture d’un « Appel de la société civile francophone contre la marchandisation de l’éducation et des systèmes éducatifs », qui sera adressé aux Etats francophones en vue du Sommet de Madagascar de novembre 2016.

Cette déclaration commune se fondera sur le respect du droit à l’éducation, la prise en compte des acteurs engagés pour le promouvoir et le renforcement du rôle des Etats et des services publics.

Cette journée de discussion et d’approfondissement sera suivie, à 17h45, d’une conférence publique, introduite par M. Georges NAKSEU-NGUEFANG, directeur de la Direction Affaires publiques et Gouvernance Démocratique de l’OIF, et d’un cocktail. Un espace de ressources documentaires sera mis à disposition.

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Rabindranath Tagore ( 1861-1941)

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Guide pratique pour une communication publique sans stéréotype de sexe

« Discours, colloques, affiches, vidéos, sites web, textes officiels, nominations des équipements et des rues : la communication des pouvoirs publics, qu’elle soit interne ou externe, prend des formes très diverses. Sans une vigilance continue, les stéréotypes de sexe sont reproduits, parfois de manière inconsciente. Leur présence se manifeste par trois aspects. D’abord, un fort déséquilibre entre le nombre de femmes et le nombre d’hommes représenté.e.s. Ensuite, un enfermement des femmes et des hommes dans un répertoire restreint de rôles et de situations, limitant de fait leurs possibilités d’être et d’agir. Enfin, une hiérarchisation des statuts et des fonctions de chaque sexe au détriment des femmes.
Or ces représentations auxquelles les citoyen.ne.s sont constamment exposé.e.s renforcent les stéréotypes de sexe et les inégalités entre les femmes et les hommes. Pour renverser cette tendance, l’État et les collectivités territoriales se doivent d’être exemplaires, notamment via l’utilisation de l’argent public destiné à la communication.
Pour ce faire, ce Guide est un véritable outil à votre disposition. Il s’inscrit dans la poursuite du rapport relatif à la lutte contre les stéréotypes de sexe.
10 recommandations pratiques ont été co-construites pour communiquer sans stéréotypes. Nous remercions les linguistes, les professionnel.le.s de la communication, les fonctionnaires et toutes celles et ceux, dont les membres du HCEfh, qui y ont contribué.
Nous savons pouvoir compter sur vous pour utiliser et diffuser ce Guide en interne comme à vos prestataires extérieurs afin qu’il devienne un outil de référence. Le faire vivre, c’est faire de l’égalité entre les femmes et les hommes une réalité pour toutes et tous ! »

 

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