Prix Liberté 2020 : Participer au vote !

Des jeunes du monde entier élisent la personnalité 2020 pour le Prix Liberté parmi les trois personnalités suivantes :


Loujain Al Hathloul, militante saoudienne des droits des femmes dans son pays.

Père Pedro Opaka, pour son combat contre la grande pauvreté à Madagascar.

Nasrin Sotoudeh, avocate iranienne spécialisée dans la défense des droits de l’Homme et des libertés fondamentales

Cette sélection s’est opérée à partir des 238 propositions adressées par des jeunes de 13 nationalités (Burkina Faso, Egypte, Madagascar, Togo, Colombie, Canada, Etats-Unis, Cambodge, Inde, Liban, Espagne, Irlande, France). Pour toute information et participer au vote : rendez vous sur le site des Cemea France

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Guide d’appui à l’intégration de l’approche genre dans son organisation par Coordination Sud

Coordination SUD
L’article est disponible ici

Coordination Sud “propose des ressources et outils pour que les organisations questionnent les rapports sociaux fondés sur le genre dans les différentes composantes de leur association (projet associatif, gouvernance, ressources humaines, communication) et puissent déceler les stéréotypes, les discriminations et les violences afin de les contrer.”

Coordination propose ce guide sous forme d’auto-évaluation de son organisation, et d’envisager des pistes d’actions afin de permettre une transformation de son organisation.

Le guide complet est disponible en cliquant sur l’image

Le guide de communication égalitaire rédigé par les contributions des membres de la FICEMEA est mentionné en ressources complémentaires de ce guide (Approche Genre par Coordination Sud) :

Guide de Communication Egalitaire disponible : ici

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Publié dans Egalité femmes/hommes, Non classé, Nos publications Tagués avec :

La France doit cesser son soutien à Bridge International Academies par Solidarité Laïque

Cet article est disponible sur le site de Solidarité Laïque : ici

Une éducation pour toutes et tous, mais à quel prix ? En investissant dans la société privée Bridge International Academies (BIA), la France met en danger la qualité de l’éducation de milliers d’enfants. Solidarité Laïque avec 12 organisations lance l’alerte.

Le soutien de la France  à la chaîne d’écoles commerciales à l’international, Bridge International Academies, écorne son objectif de défense du droit à l’éducation  et participe à la mise en péril des objectifs d’éducation gratuite de qualité accessible à toutes et tous. 

Aujourd’hui les défenseurs de l’éducation publique de qualité soumettent une alerte au mécanisme des Nations Unies du Comité examinant les obligations des Etats vis-à-vis de l’ensemble des droits garantis par le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels (PIDESC).  

Qu’est ce que Bridge International Academies ? 

La société privée Bridge International Academies (BIA), filiale de l’entreprise américaine NewGlobe Schools Inc., déploie un modèle de chaîne d’écoles à bas coûts dans les pays pauvres, dont les pratiques contreviennent aux normes admises pour une éducation de qualité. Les investisseurs de BIA comprennent des investisseurs privés notoires tels que l’Omidyar Network, la Zuckerberg Education Ventures et Bill Gates, et plusieurs agences d’investissements américaines et européennes. Leur objectif étant avant tout lucratif, leur modèle éducatif  a des impacts négatifs sur le droit à l’éducation de milliers d’enfants, ce que plusieurs études ont démontré.

En savoir plus : Marchandisation de l’éducation – 6 raisons pour lesquelles il faut interdire les écoles de Bridge Internationational Academies https://www.solidarite-laique.org/informe/marchandisation-de-leducation-6-raisons-pour-lesquelles-il-faut-interdire-les-ecoles-bridge/ 

Qu’est ce que Proparco ? 

Proparco est la filiale de l’Agence Française de Développement (AFD) dédiée au secteur privé et oeuvre à ce titre pour le développement des pays du Sud. En 2015, elle a investi dans l’entreprise multinationale d’enseignement Bridge International Academies (BIA) par l’intermédiaire du fonds d’investissement Novastar East Africa Fund. 

Pourquoi le financement de la France dans Bridge International Academies doit nous alerter ! 

La responsabilité du droit à l’éducation de qualité incombe avant tout aux États mieux à même de fournir une éducation gratuite, accessible à tous, en particulier pour les groupes vulnérables. L’Etat français doit donc orienter l’aide publique au développement et les politiques de coopération solidaire pour soutenir en priorité une éducation publique prodiguée par les Etats et des actions d’équité, en conformité avec le Droit international et tendant à réduire les inégalités. 

La France doit se « retirer le plus tôt possible de ses investissements dans Bridge International Academies […] et s’acquitter pleinement de ses obligations et responsabilités légales » en matière de droits humains. Elle doit « mettre en place des mécanismes efficaces [..] pour l’aide au développement afin de prévenir la récurrence d’investissements ayant des impacts négatifs similaires » et « pour favoriser le soutien à l’éducation publique et le respect du droit à l’éducation, conformément aux Principes d’Abidjan ».

Voilà pourquoi face à ces constats d’un encouragement à la marchandisation de l’éducation, à un système renforçant les inégalités et même la ségrégation sociale, plusieurs organisations de la société civile, ONG, associations de défense des droits de l’Homme ont alerté la France et PROPARCO depuis plus de 2 ans sur les agissements de BIA. Malgré la confirmation des préoccupations de la société civile par le Compliance Advisor/Ombudsman, le mécanisme de plainte indépendant de la Banque Mondiale qui a soulevé de « graves préoccupations » concernant l’engagement de celle ci auprès de BIA, la France n’a à ce jour entrepris aucune action pour remédier aux impacts négatifs de son investissements dans BIA. 

En savoir plus 

http://www.coalition-education.fr/je-m-informe-10-organisations-alertent-le-Comite-des-droits-economiques–sociaux-et-culturels-sur-l-investissement-de-la-France-dans-BIA–279.htmlMOTS-CLES :

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Publié dans Le réseau francophone, Marchandisation de l'éducation Tagués avec :

Le non-respect des obligations extraterritoriales de la France en matière de droit à l’éducation à travers son investissement dans Bridge International Academies

https://ficemea.org/wp-content/uploads/2020/03/Brief-France-BIA-to-CESCR-February-20120-French-GI-ESCR_Public.pdf
https://ficemea.org/wp-content/uploads/2020/03/Brief-France-BIA-to-CESCR-February-20120-French-GI-ESCR_Public.pdf
Vous trouverez le rapport : Ici



Prochaines étapes :

  • La pré-session durant laquelle la France sera examinée par le Comité en amont de l’examen final aura lieu mardi prochain, le 10 mars. La Coalition Education et Solidarité Laïque seront en mesure de participer à distance à la pré-session pour porter notre message commun.

Nous vous invitons également à vous mobiliser durant cette matinée sur les réseaux sociaux !

  • La liste des points finaux qui seront soulevés par le Comité auprès de la France durant son examen sera disponible environ 10 jours après la pré-session. Nous vous tiendrons informés des résultats et continuerons à coordonner la mobilisation après cela.
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Publié dans Marchandisation de l'éducation Tagués avec :

Un-e bon-ne prof maîtrise sa matière !

Et si à l’école, dans les salles des profs en particulier, nous n’entendions plus certaines phrases ! C’est autour de cette idée que s’organise cette chronique mensuelle : une idée toute faite à contredire, une affirmation si souvent répétée qu’elle s’ancre en nous sans réels fondements. Un temps pour s’arrêter sur ces phrases… Pour réfléchir, les questionner et ouvrir la discussion !

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Publié dans Ceméa de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Europe, Les associations membres

Quelques données et informations sur le système éducatif tunisien vue sous le prisme du droit à l’éducation

  1. Accès, égalité et non-discrimination
    En Tunisie, l’égalité des chances en éducation est devenue un mythe. Un fossé, de plus en plus large et profond, se creuse entre les élèves et étudiant(e)s des régions et familles défavorisées et ceux/celles des plus aisées.
  • Les inégalités se cumulent et se renforcent au cours du cursus d’enseignement: bien évidents au niveau préscolaire, assez limités à l’école primaire, les clivages explosent à partir du collège. C’est généralement à ce niveau de la scolarité que les élèves les plus défavorisé(e)s, n’arrivent pas a acquérir les compétences nécessaires pour accéder au lycée et a fortiori à l’université.

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Publié dans Afrique, Les associations membres, Non classé, Tunisie

Marchandisation de la culture, culture de la marchandisation

Le 8 novembre 2019, le Parti de la gauche européenne inaugurait son Forum de Bruxelles. Le programme du Forum faisait pour la première fois une place à la question de la culture, via une session intitulée « Culture émancipatrice ou culture de marché ? ». La session était modérée par Jean-Pierre Michiels. La députée anglaise travailliste Julie Ward et Jean Blairon avaient été invités à réaliser un exposé d’une quinzaine de minutes pour lancer les débats.


Le texte qui suit développe l’intervention de Jean Blairon

Pour consulter l’article, cliquer sur l’image

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Publié dans Démocratie culturelle, Ressources thématiques

Guide d’animation Justice sociale, justice climatique – MEPACQ

« Ce guide s’adresse aux organismes et aux groupes qui se consacrent à l’éducation populaire autonome. Il présente brièvement la crise climatique et les enjeux sociaux qui s’y rattachent. Il propose également une série d’activités d’éducation populaire. À vous de choisir le contenu que vous voulez partager avec les gens qui fréquentent votre organisme et d’adapter au besoin les activités que vous souhaitez animer.

Objectifs de cet atelier :

  • Mieux comprendre la crise du climat
  • Mieux cerner les causes de cette crise
  • Mieux comprendre les injustices qui y sont reliées
  • Réfléchir à des pistes de solutions »
Pour consulter ou télécharger le guide, cliquer sur l’image

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Publié dans Amérique du Nord, Les Amériques et Caraïbes, Les associations membres

Dans « Deuda con todos », un reportage sur la criminalisation de l’avortement au Salvador

Le 19 novembre, le documentaire En Deuda con Todas, une coproduction de l’ACPP et de l’Association galicienne de communication pour le changement social (AGARESO), a été présenté en première à El Sal-vador. Des jeunes filles violées forcées de devenir mères à l’âge de 10 ans, des adolescentes qui se suicident pour éviter d’être confrontées à une maternité non désirée, des femmes dont la grossesse met en danger leur santé et même leur vie, les mères qui perdent leur bébé involontairement après un accouchement hors hôpital ou toute sorte d’urgence obstétrique et qui sont conduites au poste de police avant même d’être soignées médicalement, et finalement condamnées à des peines allant jusqu’à 30 ans de prison.

Dans Deuda con Todas, récit à travers les voix de ses protagonistes, les conséquences tragiques pour la vie des femmes salvadoriennes de la criminalisation totale de l’avortement qui a été introduite dans ce pays d’Amérique centrale à la fin des années 1990, ainsi que la lutte que mène le mouvement féministe dans le pays pour inverser la situation. D’autres pays ont une législation similaire, mais aucune n’est aussi sévère pour les femmes que le Salvador, en particulier les très jeunes femmes aux ressources limitées.

Entre 2000 et 2014, 250 femmes ont été signalées et 49 ont été condamnées pour avortement ou homicide aggravé après avoir perdu leur bébé en couches ou dans la période post-partum immédiate. Plus de la moitié de ces femmes avaient entre 18 et 25 ans et ne recevaient aucun salaire ou revenu, et dans 74 % des cas, les pères des enfants n’assumaient aucune responsabilité. Les plaintes proviennent des services d’urgence ou des hôpitaux publics, qui refusent parfois de traiter les femmes qui arrivent après une urgence obstétrique.

Dans « Deuda con Todas » on traite de cette situation de violation des droits sexuels et reproductifs des femmes salvadoriennes, où l’on nous présente les histoires de femmes qui ont subi la dureté du système judiciaire après que les médias et la société civile nous aient accompagnés dans cette première présentation. En Galice, le documentaire sera diffusé le 16 décembre dans la salle de la coopérative NUMAX à Saint-Jacques de Compostelle.

ACPP continuera à travailler avec ses partenaires locaux pour la dépénalisation de l’avortement au Salvador et pour promouvoir le respect du droit des femmes à décider de leur corps. Elles ont été injustement condamnées. Ces témoignages, ajoutés aux informations fournies par les dirigeants des mouvements et collectifs confessionnels et les spécialistes, nous obligent à réfléchir sur la tragédie de l’incapacité des femmes à décider de leur propre corps. Lors de sa première à San Salvador, diverses organisations qui ont rendu possible la réalisation de ce document audiovisuel ont parlé de la réalité des violations des droits des femmes salvadoriennes. Environ 180 personnes appartenant à différentes organisations sociales, mouvements et collectifs féministes,

Rédaction : Equipo ACPP Galicia

Trailer : https://www.youtube.com/watch?v=E9hjU9wgUxc

Texte en espagnol

En Deuda con Todas, una historia sobre la penalización del aborto en el Salvador

El pasado 19 de noviembre se estrenó en el Sal-vador el documental En Deuda con Todas, una coproducción de ACPP y la Asociación Galega de Comunicación para el Cambio Social (AGARESO), que trata de las consecuencias que tiene en la vida de las mujeres salvadoreñas la penalización total del aborto vigente en el país centroamericano.El aborto es totalmente ilegal en el Salvador, en todas las circuns-tancias. Niñas violadas obligadas a ser madres con 10 años, ado-lescentes que se suicidan para evitar afrontar la maternidad no deseada, mujeres con embara-zos que ponen en riesgo su sa-lud e incluso su vida, o madres que pierden a sus bebés de for-ma involuntaria tras un parto extra-hospitalario o cualquier tipo de emergen-cia obstétrica y que son trasladadas a comisaría antes incluso de ser atendidas médicamente, para finalmente ser condenadas hasta 30 años de prisión. En Deuda con Todas relata, a través de las voces de sus protagonistas, las trágicas consecuencias que supone para la vida de las mujeres salvadoreñas la penalización total del aborto que se instauró en el país centroameri-cano a finales de los años noventa, así como la lucha que está llevando a cabo el movimiento feminista en el país para revertir la situación.Otros países cuentan con legisla-ciones similares, pero ninguno se ensaña con las mujeres como El Salvador, especialmente con las mujeres muy jóvenes y con escasos recursos. Entre 2000 y 2014, 250 mujeres han sido de-nunciadas y 49 han sido conde-nadas por aborto o por homici-dio agravado, tras perder a sus bebés en el parto o en el mo-mento inmediatamente poste-rior al parto. Más de la mitad de estas mujeres tenía entre 18 y 25 años y no reci-bía ningún tipo de salario o ingresos económi-cos, y en un 74% de los casos los padres de las criaturas no asumían ningún tipo de responsabi-lidad. Las denuncias llegan desde los servicios de emergencia o los hospitales públicos, que en ocasiones rehúsan atender a las mujeres que llegan tras sufrir una emergencia obstétrica. En Deuda con Todasversa sobre esta situación de vulneración de los derechos sexuales y re-productivos de las mujeres salvadoreñas, donde se nos presentan los relatos de mujeres que han sufrido la dureza del sistema judicial tras haber medios de comunicación y sociedad civil nos acompañaron en esta primera presentación. En Galicia, el documental se estrenará el próximo 16 de diciembre en la sala de la cooperativa NUMAX en Santiago de Compostela.Desde ACPP seguiremos trabajando con nues-tras contrapartes locales, por la despenalización del aborto en El Salvador y promocionando el respeto del derecho de las mujeres de decidir sobre sus cuerpos. Porque ellas paren, ellas de-ciden. sido injustamente condenadas. Estos testimo-nios, sumado a la información brindada por par-te de lideresas de movimientos y colectivos fe-ministas y especialistas, nos obligan a reflexio-nar sobre la tragedia que supone para las muje-res no poder decidir sobre su propio cuerpo.Durante su estreno en San Salvador, diversas organizaciones que hicieron posible esta pieza audiovisual hablaron sobre la realidad de las mujeres salvadoreñas en cuanto a la vulnera-ción de sus derechos. Alrededor de 180 perso-nas pertenecientes a diferentes organizaciones sociales, movimientos, colectivos feministas,

Redacción: Equipo ACPP Galicia

Trailer : https://www.youtube.com/watch?v=E9hjU9wgUxc

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Le Réseau de Recherche Francophone sur la Privatisation de l’Education

Le 14 février 2020 s’est tenu à Paris dans les locaux de Solidarité Laïque, la première réunion formelle du Réseau de Recherche Francophone sur la Privatisation de l’Education (ReFPE). Venus de plusieurs pays, il s’est agi pour ces chercheurs de s’entretenir sur la problématique de la privatisation de l’éducation et élaborer leur agenda de recherche en la matière.

Après s’être imprégnés des enjeux de la problématique de la privatisation et marchandisation de l’éducation dans l’espace francophone lors de la journée d’échanges du 13 février, organisée par la Coalition Education de France sur la question, les chercheurs ont discuté sur l’état de la recherche en France avant de procéder à l’identification des recherches existantes et celles en cours. Ainsi, l’on note que plusieurs études effectuées ont abordé quelques questions telles la privatisation et marchandisation de l’éducation arabo islamique en complicité avec la mendicité au Sénégal, les conséquences de la privatisation sur les enseignants en Afrique subsaharienne, l’évolution de l’école privée dans le primaire au Burkina Faso, etc. Quant aux recherches en cours, la question de la privatisation et qualité de la formation dans l’enseignement confessionnel en Côte d’Ivoire, la demande d’éducation des familles et l’offre éducative au Sénégal et d’autres thématiques ont été soulignées.

Quelles thématiques prioritaires identifiées ?

Des échanges des chercheurs il semble important de procéder d’abord à une cartographie des écoles privées, un état de de la privatisation de l’éducation dans tous les niveaux d’enseignement, c’est à dire du préscolaire au supérieur. Ceci semble nécessaire avant de mener des études spécifiques prenant en compte des facteurs tels que l’extrémisme, le genre, les inégalités spatiales, les plans nationaux, les mesures de régulation, etc.  C’est pourquoi ils se sont un délai à l’issue de la réunion pour la rédaction de termes d’une étude sur l’état des lieux de la privatisation de l’éducation dans les pays de la Côte d’ivoire, Maroc, Niger, Sénégal, Togo. Une autre rencontre sera programmée à l’issue de ces termes de référence pour l’élaboration des outils relatifs à cette étude.

En rappel, dans le courant 2019, le Réseau Francophone contre la marchandisation de l’éducation a en collaboration avec l’Université de Genève, mis en place le ReFPE. L’objectif de cette initiative est de stimuler la recherche sur cette question dans des pays francophones où il y a peu d’informations et d’études disponibles afin de mieux comprendre le phénomène et son étendue dans l’espace francophone et développer des outils de plaidoyer ou de protection de droits adaptés qui y répondent. Le ReFPE compte à ce jour 31 chercheurs issus de 13 pays.

Par ailleurs, avec pour partenaire le Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, l’équipe de Recherche en Dimensions Internationales de l’Education (ERDIE) de l’Université de Genève, par l’intermédiaire de Thibaut Lauwerier, coordonne les activités de ce groupe, en étroite collaboration avec le Réseau Francophone contre la marchandisation de l’éducation, et notamment la Global Initiative for Economic, Social and Cultural Rights et l’Initiative pour le Droit à l’Education.

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Publié dans Le réseau francophone, Marchandisation de l'éducation, Ressources sur la marchandisation