Le logo des Ceméa fait peau neuve. Une identité visuelle renouvelée qui met l’accent sur l’éducation. Un logo 2025 décliné et déclinable, on vous dit tout.
Pour moderniser l’identité visuelle du réseau Ceméa, un nouveau logo est déployé depuis l’été 2025. A compter de septembre 2025, il figurera sur les nouveaux supports de communication des Ceméa. Ce nouveau logo existe dans plusieurs formats pour répondre à différents besoins et usages.
De la «foule sentimentale» du dernier Festival du Film d’Éducation au séjour de Juseret en passant par les témoignages des jeunes critiques, l’interview des agent-e-s de l’ONE ou encore la rencontre de volontaires des CEMÉA Togo, ce numéro d’Impulsions donne à voir une diversité de pratiques, de publics, d’organisations de pensées… au service d’une éducation émancipatrice et engagée.
Dans ce cadre, le jeu occupe une place centrale comme instrument de rencontre, de dépassement, de découverte ou de composition. Il ne s’agit pas de «ludiciser» le monde et nos relations pour en oublier les injustices, les dérèglements ou les dominations qui les habitent… Mais bien d’alimenter notre humanité de l’audace et des innombrables parts d’inattendu que peut susciter le jeu! Parce que d’autres voies sont possibles, que les alternatives seront celles que nous nous autoriserons à fonder. Alors jouons-nous des diktats et normes bienséantes, avec détermination, humour et joie…
Formations continuées à l’animation, formations d’animatrice-animateur de centres de vacances, formations programmées, formations thématiques, formations à la demande… Tout y est en ce qui concerne le secteur Animation et le secteur Éducation permanente.
Les voici, les voilà!
Si vous souhaitez feuilleter les programmes 2025-2026, à la fois pour les formations à l’Animation que pour les formations et activités d’Éducation permanente, cliquez ci-dessous :
Vous retrouverez également le contenu de ces programmes dans notre rubrique Formations.
Si vous souhaitez recevoir un exemplaire papier, c’est possible. Il suffit de nous écrire à diffusion@cemea.be en mentionnant le nom de la brochure souhaitée et l’adresse où vous aimeriez la recevoir.
Le Miroir Vagabond présente quelques activités réalisées et à venir pour le compte de l’année 2025:
Du 4 au 6 Juillet 2025 : Ils ont organisé ”Bitume”, un festival de théâtre de rue et sous chapiteau, en milieu rural. Un festival gratuit et co-construit avec la population, les associations locales, la commune dans la ville de Hotton où le Miroir Vagabond est implanté.
Du 13 au 15 Novembre 2025 : En partenariat avec 15 associations locales, coordonnés par Le Miroir Vagabond se tiendra le Festival « Prendre soin » développe une dynamique citoyenne, artistique et scientifique autour des enjeux de la santé. Au programme : spectacles, documentaires, expositions, conférences, ateliers, débats, rencontres citoyennes.
Du 15 au 19 Décembre 2025 : une semaine de sensibilisation à propos des migrations en collaboration avec la coordination de la province du Luxembourg (Belgique) asile et migration qui regroupe une vingtaine d’associations : exposition de travaux réalisés par des migrants, débats, concert, soirée de soutien à la Palestine, rencontre avec les politiques locaux.
Suivez leurs réseaux sociaux : https://www.facebook.com/profile.php?id=100076737541188
Sur invitation de FSVC (Corps des Volontaires des Services Financiers), et en collaboration avec le Ministère algérien des Finances et l’Ambassade des USA en Algérie, trois membres de Association nationale scientifique des jeunes “Découverte de la nature” (Bouzennoun Ferhat, Hebouche Akli et Albane Fatima) ont participé à « l’atelier sur le renforcement de la transparence et du contrôle budgétaire » qui a eu lieu à l’hôtel LEGACY à Alger du 21 au 24 juillet 2024.
Fondée en 1990 à l’initiative de Cyrus Vance et John Whitehead, FSVC est une organisation à but non lucratif qui aide à construire des systèmes financiers solides dans les pays en développement et en transition. FSVC fournit une assistance technique pratique et axée sur la demande, grâce à des professionnels des services financiers bénévoles. Leur travail se concentre sur le renforcement des capacités des banques centrales, des systèmes bancaires commerciaux et des marchés de capitaux. Cet atelier a réuni des représentants de la société civile avec la DGB (Direction Générale du Budget) et animé par deux experts internationaux.
Trois associations, dont l’ANSJDN ont représenté la société civile algérienne à cette rencontre. La société civile a été concernée par les deux derniers jours, les 23 et 24 juillet 2025.
Les échanges ont porté dans un premier temps sur la formulation du budget en Algérie et la nécessité de vulgariser ce budget pour que tout citoyen puisse prendre connaissance et le comprendre. C’est ainsi qu’est expliqué le « Budget citoyen » et que les associations devront communiquer aux citoyens. Le budget citoyen est un document dans lequel on explique le budget de l’Etat dans un langage simple et facile à comprendre par la population.
Dans un second temps, les échanges se sont poursuivis sur la protection de l’environnement. Cet exercice a permis à l’ANSJDN de mettre en exergue son expérience dans le domaine de la protection de l’environnement et son militantisme pour l’éducation nouvelle dans le sillage de la Ficeméa dont elle fait partie.
Au terme de l’atelier, l’ANSJDN a soumis une invitation à un membre de la DGB pour une présentation sur le budget citoyen lors de leurs journées de formation des formateurs de jeunes prévues à Ouargla (sud de l’Algérie) en novembre 2025.
Avec ces partenaires (Volonteurope, sTOP – Stowarzyszenie Trenerskie Organizacji Pozarządowych, Clube Intercultural Europeu, CSV Lazio, Follow Me Production), EIVA (membre de la Ficeméa) coordonne la mise en œuvre du projet wateracy. Wateracy est un projet européen Erasmus+ (KA220-YOU) qui vise à renforcer la littératie de l’eau et à encourager une véritable responsabilité citoyenne chez les jeunes, en particulier ceux issus de communautés marginalisées. Face aux défis croissants liés à l’eau qu’ils soient environnementaux, sociaux ou politiques, le projet entend donner une voix aux jeunes et les placer au cœur des solutions.
Le projet poursuit plusieurs objectifs complémentaires :
Identifier les lacunes en matière de connaissances sur les enjeux liés à l’eau et produire de nouveaux savoirs avec les jeunes marginalisés.
Développer et tester des activités éducatives qui reconnectent les jeunes à l’eau et favorisent une utilisation durable des ressources.
Créer des Assemblées de l’Eau dans lesquelles les jeunes peuvent débattre, proposer des solutions et formuler des recommandations aux décideurs.
Lancer une campagne de sensibilisation à grande échelle pour toucher un public européen et assurer la durabilité des résultats.
Avec une méthodologie participative et expérientielle, impliquant directement les jeunes et leurs communautés, les activités du projet sont les suivantes :
Recherche participative : 180 jeunes et 90 adultes engagés pour documenter les problématiques locales liées à l’eau, aboutissant à un rapport européen.
Co-création d’outils éducatifs : élaboration et expérimentation de 48 activités de sensibilisation, rassemblées dans un Toolkit Wateracy à destination des acteurs de jeunesse.
Assemblées de l’Eau : organisation de 6 assemblées nationales réunissant jeunes, décideurs et parties prenantes, donnant lieu à un Policy Paper européen.
Campagne de communication : un dispositif en ligne à l’échelle de l’UE, visant à sensibiliser au moins 25 000 personnes aux enjeux de l’eau.
En réunissant recherche participative, engagement politique et outils éducatifs créatifs, Wateracy permet aux jeunes de devenir de véritables acteurs de changement pour une Europe plus résiliente et plus respectueuse de ses ressources en eau.
Niamey, 12 août, le Président de la République, chef de l’Etat, le Général d’armée Abdourahamane Tiani, a, dans un communiqué publié le 18 juillet dernier, signé un décret portant réduction de 20% les frais de scolarité applicables dans les établissements et institutions de formation privés au Niger.
‘’Il est institué une réduction de 20% sur les frais annuels de scolarité appliqués durant l’année scolaire 2024-2025 dans tous les établissements d’enseignement et les Institutions de formation privés du Niger ‘’ rapporte le communiqué qui précise que ’’cette réduction ne peut avoir pour effet de ramener ces frais à un montant inférieur à cinquante mille (50 000) francs CFA’’.
Cependant, selon cette même source, les ‘’organismes de secours, de bienfaisances ou d’aides à l’éducation et /ou à la Formation professionnelle peuvent appliquer des tarifs inférieurs au seuil de cinquante mille (50 000) francs CFA ‘’.
‘’Le non-respect des dispositions du présent décret entraîne la fermeture de l’établissement d’enseignement ou de l’institution de formation concerné ‘’ avertit le décret du Président de la République.
Le présent décret ‘’s’applique à compter de la rentrée scolaire 2025-2026. Il fera l’objet d’évaluation après une (1) année de mise en œuvre ‘’ souligne le communiqué.
Ainsi, tous les acteurs de l’enseignement, de la formation professionnelle et technique sont appelés, chacun en ce qui le concerne, à veiller à l’application du présent décret.
Grâce au projet Vi-act, une continuité du projet Building Bridges, il y a la coopération entre les pays de l’Europe comprenant la Belgique, la Roumanie et la Bulgarie et ceux de l’Océan Indien dont Madagascar, les Seychelles et l’Île Maurice. Ce projet vise surtout l’échange virtuel des jeunes entre ces six pays à travers le numérique. L’objectif hormis l’échange est l’apprentissage par les ludifications, l’échange de culture.
Du 19 au 23 juin 2025, une équipe des CEMEA Madagascar composé de son président (RANDRIANASOLO Manankieferana) et du trésorier (RAHAJASON Mioratiana Nantenaina) ont pris part à une rencontre à Arad (Roumanie) organisé par EIVA. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des activités du projet « Virtual in Action – Fostering Virtual Learning Skills in Youth Sector » qui couvre Belgique, Bulgarie, Madagascar, Maurice, Roumanie, Seychelles.
Les objectifs du projet sont les suivants :
Création d’un centre virtuel de la jeunesse UE-Afrique et mise en œuvre de trois modèles différents : échanges de jeunes bi-tri-multi, semaine virtuelle de développement de la jeunesse et Sommet virtuel de la jeunesse, qui pourront servir de modèles futurs de coopération virtuelle ;
Formation de plus de 80 animateurs jeunesse à la conception et à la mise en œuvre d’échanges virtuels de qualité axés sur les échanges interculturels et les besoins de développement personnel des jeunes ;
Développement des compétences essentielles d’au moins 3 000 jeunes dans le cadre d’activités d’échanges interculturels virtuels UE-Afrique ;
Création d’un ensemble complet d’échanges interculturels virtuels de jeunes de qualité, à utiliser dans les pays partenaires et au-delà.
Quatre (04) organisations membres de la FICEMEA étaient présentes à cette rencontre. Ce sont : CEMEA Madagascar, EIVA (organisateur), Centre d’Education et de Développement des Enfants Mauriciens (CEDEM) et Association Seychelloise pour la Jeunesse et l’animation (ASJA).
Pour RANDRIANASOLO Manankieferana (président de CEMEAM), cette rencontre physique a été bénéfique pour eux. Il affirme que la mobilité a été un moment de connaissance mutuelle, de partage d’expérience en matière de numérique, de partage des réalités de chaque pays.
Dans le cadre de ses activités de vacances édition 2025, le Conseil des Activités Educatives du Bénin (CAEB) a organisé une série d’activités sur le thème « Les enfants, acteurs de paix et de cohésion sociale pour un monde plus juste et durable » dans plusieurs localités du Benin, entre juin et juillet 2025.
Aujourd’hui, des chef·fe·s d’État, institutions financières et acteur·rice·s de solidarité internationale se réunissent au Sommet de Séville (30 juin – 2 juillet) pour aborder les grands enjeux du financement du développement. Ce rendez-vous intervient dans un contexte mondial bouleversé par les crises politiques, climatiques et humanitaires multiples et des coupes budgétaires alarmantes.
Parmi les victimes silencieuses de ces drames : l’éducation, pourtant pilier fondamental de tout développement humain. En 2024, 103 millions d’enfants — soit 1 sur 3 dans les zones en crise ou en conflit (34 pays) — n’étaient pas scolarisés. Les chocs climatiques, eux, ont perturbé la scolarité de 242 millions d’élèves dans 85 pays. Par ailleurs, plusieurs pays donateurs ont annoncé des réductions drastiques de leurs budgets internationaux d’éducation : États-Unis, Royaume-Uni, Suisse, Pays-Bas…