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“La trace d’un rêve n’est pas moins réelle que celle d’un pas”. En politique, le rêve sans le pas se dissipe dans le ciel brumeux des idées, mais le pas sans le rêve piétine. Le pas et le rêve dessinent un chemin : un projet politique[1].
Chers collègues, chers amis,
Après une période intense de mobilisation, d’écriture et de réflexion impliquant de nombreux partenaires, nous avons le plaisir de vous transmettre pour signature et diffusion
l’ « Appel de la société civile francophone contre la marchandisation de l’éducation »
Aujourd’hui, à travers ce plaidoyer, nous voulons assurer une mobilisation collective contre un phénomène grandissant qui impacte tous les secteurs de l’éducation, formelle et non formelle. Cet appel a pour vocation d’alerter les acteurs de la société civile et politique, de les sensibiliser aux dangers inhérents au processus de marchandisation de l’éducation, qui crée de l’injustice sociale et met en péril l’avenir de nos sociétés.
Nous vous invitons à signer cet appel et à le diffuser dans tous vos réseaux jusqu’en novembre 2016.
Pour signer, veuillez cliquer sur ce lien :
http://goo.gl/forms/ESJwKYbWqpaBaIQG2
En effet, nous devons récolter le maximum de soutiens des organisations de la société civile au niveau national et international afin de peser politiquement dans le débat crucial que nous voulons instaurer au plan international. Avec vous, nous nous mobiliserons en particulier pour que cet appel trouve un écho lors du prochain Sommet de la Francophonie qui aura lieu à Antananarivo en novembre 2016, et soit entendu des Etats qui y participeront.
Restons en contact sur les prochaines échéances liées à la présentation officielle de l’Appel aux acteurs politiques et les prochaines initiatives envisagées.
Nous sommes à votre disposition pour tous commentaires, idées et propositions de mobilisation.
Le réseau francophone contre la marchandisation de l’éducation vous remercie de vos contributions et de votre implication.
N’hésitez pas à tweeter : #NeVendezPaslEducation
Coalition Education
CSFEF
Ficeméa
GI-ESCR
Right to Education Project
Solidarité Laïque
—
[1] Georges Duby cit. et Pierre Imbert, « Contester sans modération », Le Monde Diplomatique, mai 2016, p.3
La Asociación de Amigos del Belvédère, creada en 1989, ha congregado siempre a voluntarios deseosos de preservar el patrimonio ecológico y cultural que atesora este parque urbano de 110 hectáreas, único pulmón verde en pleno centro de la ciudad de Túnez. Durante su primera reunión, celebrada el 10 de marzo de 1989, esta asociación se fijó tres objetivos que orientarían sus acciones:
Resguardar el equilibrio ecológico del parque sin dejar de dar respuesta a las necesidades de sus visitantes.
Animar el ambiente del Parque mediante la incorporación de actividades creativas y educativas.
Fomentar la creación de espacios verdes y de parques urbanos siguiendo el ejemplo del Belvédère en otros lugares de la ciudad o en otras localidades del país.
La Asociación de Amigos del Belvédère fue creada en 1989 para luchar contra un proyecto de infraestructura vial. Dicho proyecto preveía dividir un histórico parque de la ciudad de Túnez, el parque del Belvédère.
Desde entonces, la asociación contribuye a la preservación de este patrimonio cultural único, un espacio que conforma el pulmón de la capital de Túnez y que satisface las necesidades de sus usuarios: eventos culturales y deportivos, educación ambiental, formación de jóvenes, participación en procesos de decisión en numerosas instituciones (municipio de Túnez, Ministerio de Medioambiente…).
La población a la que se orientan sus actividades es muy variada y depende del tipo de proyecto y de las iniciativas llevadas a cabo: escolares, estudiantes, educadores y trabajadores de la juventud, y un público más amplio cuando se trata la problemática del desarrollo sostenible, la población vecina del parque.
Desde hace 25 años, el trabajo de la asociación se basa esencialmente en la contribución de voluntarios nacionales e internacionales, con la participación frecuente de expertos en diferentes áreas: educación, paisajismo, agricultura, ciencias biológicas y de la tierra, hombres de letras y artistas.
El compromiso de la juventud suministra la principal fuerza laboral de la asociación.
Socios financieros: el municipio de Túnez, la UNDP, la Embajada de Francia, la Comisión Europea, socios privados.
Gracias a su ubicación en el corazón del parque, la asociación puede desarrollar productos y actividades que generan ingresos: aceite de oliva, miel, compost vegetal, actividades educativas y recreativas.
Les Amis du Belvédère
BP 349
1002 Le Belvédère – Tunis
Tél : 216 20 555 838
Emna Charfi
charfi_emna@yahoo.fr
Dinámica: escuela nocturna, inserción: respaldo a la fundación privada y a la empresa.
Con la ayuda del Ministerio de Enseñanza de Tercer Nivel y, en particular, de las Inspecciones del distrito educativo de Lomé, los CEMEA de Togo se proponen organizar un «festival de teatro» destinado a los alumnos de los centros de enseñanza secundaria de dicha jurisdicción.
Se trata de una competencia teatral que se centrará en obras escritas, producidas, montadas e interpretadas por los propios alumnos con el acompañamiento pedagógico de sus profesores. Este evento, que se repetirá cada dos años, se desarrollará en tres etapas: la etapa de redacción o de producción de la obra, la etapa de su puesta en escena y la etapa de la representación ante el público o el festival.
Communiqué de presse, Genève, 24 mai 2016
Disponible en ligne: http://bit.ly/1ONoLqg
Le soutien controversé du Royaume-Uni (RU) aux écoles privées commerciales à bas coût (dites écoles privées ‘low-cost’) dans les pays en développement a été questionné par le Comité des Nations Unies sur les droits des enfants (CDE) (1). Ce dernier a particulièrement exprimé sa préoccupation concernant le soutien accordé par le Département britannique pour le développement international (UK Department for International Development – DfID) aux chaines d’écoles primaires et pré-primaires à but lucratif Bridge International Academies (BIA).
Hier, lors de l’examen périodique sur la mise en œuvre de la Convention sur les droits de l’enfant par Royaume-Uni, le Comité a également exprimé sa préoccupation concernant des écoles privées à but lucratif dans les pays en développement qui, avec le soutien du gouvernement britannique, résistent aux efforts faits par les gouvernements, tels que celui du Kenya, pour réglementer le secteur de l’éducation et mettre en place des normes minimales.
Ce questionnement a eu lieu lors de l’examen de la mise en œuvre de la Convention sur les droits de l’enfant par le Royaume-Uni, les 23 et 24 mai derniers à Genève.
Le Comité sur les droits de l’enfant (CDE), qui surveille le respect des droits des enfants, y compris le droit à l’éducation, a également demandé des précisions sur la volonté du Royaume-Uni de transformer tous les établissements scolaires anglais en académies.
La solide délégation du Royaume-Uni, constituée de 23 membres, a été incapable d’apporter une réponse sur le soutien de son pays aux écoles privées à l’étranger, ni sur la manière dont il évalue l’impact sur le droit à l’éducation des enfants des ‘millions de livres’ qu’elle accorde aux pays en développement dans le cadre de l’aide au développement. Le Royaume-Uni a promis de fournir une réponse écrite dans les 48 heures.
Les chaines d’écoles privées commerciales à bas coûts, telles que Bridge International Academies (BIA) sont de plus en plus examinées à la loupe en raison d’un certain nombre de préoccupations concernant la qualité de l’éducation offerte, basée sur un enseignement standardisé et de mauvaises conditions de travail; l’augmentation de la ségrégation due aux frais de scolarité; et le profit fait sur le dos de familles pauvres, tout cela étant en contradiction avec les traités relatifs aux droits de l’homme (2).
Le Royaume-Uni a alloué son aide au développement à des écoles privées ‘low-cost’ dans des pays tels que le Kenya et le Nigeria. Un peu plus tôt, sur une question concernant l’augmentation de l’aide au développement allouée à des acteurs privés dans les secteurs de l’éducation et de la santé, le CDE a demandé au Royaume-Uni s’il prévoyait d’introduire un cadre juridique pour obliger les entreprises à respecter les droits des enfants, notamment le droit à l’éducation.
Delphine Dorsi, Coordonnatrice exécutive du Right to Education Project (3), a réagi: « Les questions du Comité et l’absence de réponses de la part du Royaume-Uni confirment nos inquiétudes sur le fait que le Royaume-Uni pourrait agir en violation de ses obligations en matière de droits de l’homme en nuisant au droit des enfants à l’éducation dans des pays pauvres. »
Abraham Ochieng, du East African Centre for Human Rights, basé à Nairobi, au Kenya, a ajouté: « L’expansion rapide des écoles à but commercial avec le soutien de l’aide au développement compromet le droit à l’éducation et les efforts du gouvernement pour améliorer l’offre éducative au Kenya. Il est essentiel pour la société civile Kenyane, dans un dialogue avec le gouvernement, de remédier à cette situation, et pour les pays partenaires tels que le Royaume-Uni de recentrer leur soutien aux écoles publiques gratuites fournissant une éducation de qualité, plutôt que de porter atteinte au droit à l’éducation au profit d’intérêts commerciaux. »
Christine Blower, Secrétaire générale au Syndicat national des enseignants (NUT), a aussi réagi à la question connexe posée par le Comité à la délégation du Royaume-Uni concernant la volonté du gouvernement de transformer toutes les écoles en académies: « Le Comité a raison d’interroger le gouvernement britannique au sujet de son programme de privatisation à la fois sur son territoire et à l’étranger. Nous savons que l’intention du gouvernement de complètement transformer les écoles en académies en Angleterre va conduire à la privatisation de notre système éducatif. L’éducation est un droit humain et un bien public, pour le bien des apprenants et de la société, et non pour des intérêts privés.»
FIN
The World Heritage in Young Hands Educational Resource Kit for secondary school teachers is one of the main tools of the World Heritage Education Programme. It aims to sensitize young people to the importance of preserving their local, national and world heritage. The Kit promotes discussion and listening to others, resulting in re-affirmation of identity, whilst promoting mutual respect and respect for diversity. It serves as a valuable bridge for bringing together young people, teacher, heritage specialists and other stakeholders in a situation in which they can learn together and from each other and which results in knowledge and appreciation for their local and world heritage.
The kit is available here: http://whc.unesco.org/uploads/activities/documents/activity-54-19.pdf
Le rôle des enseignants et des éducateurs est capital dans l’éducation des jeunes au patrimoine mondial. Le Kit, adressé dans un premier temps aux éducateurs, éveille l’imagination et la créativité des enseignants et des élèves pour enrichir l’approche pédagogique de la conservation du patrimoine. Le Kit encourage les débats et l’ouverture aux autres en mettant en valeur l’identité, le respect mutuel et le respect de la diversité. C’est un lien précieux qui permet de rassembler les jeunes, les enseignants, les spécialistes du patrimoine et d’autres experts pour faire connaître, apprendre et apprécier leur patrimoine local et mondial.
Le kit est disponible ici : http://whc.unesco.org/uploads/activities/documents/activity-54-11.pdf
This paper presents evidence and analysis to support the integration of young people’s rights, needs, and aspirations in poverty reduction strategies. It shows how to make a convincing and evidence-based case for prioritizing the needs of young people among other competing claims for resources for the poverty eradication agenda. It shows how to make a convincing and evidence-based case for prioritizing the needs of young people among other competing claims for resources for the poverty eradication agenda.
The study is available here: http://www.unfpa.org/sites/default/files/pub-pdf/investing_young_2010.pdf
Les pays ont tout intérêt à miser dès aujourd’hui sur leur atout le plus prometteur et le plus innovant : les nombreux jeunes qui vivent actuellement dans la majorité des pays en développement. L’action en faveur de la jeunesse présente de nombreux avantages. Tout d’abord, elle fait écho aux nombreux accords et engagements régionaux et internationaux affirmant le rôle central des jeunes dans le développement équitable. Du point de vue des droits de l’homme, les jeunes sont reconnus comme de véritables acteurs de leur propre vie, dotés de droits et d’obligations, dans l’espoir d’une vie sans pauvreté. Du point de vue démographique, la forte proportion de jeunes par rapport aux autres groupes d’âge dans les pays en développement justifie un investissement concret.
Le rapport est disponible ici : https://www.unfpa.org/sites/default/files/pub-pdf/Case%20for%20Investing-FINAL_FR_v1.pdf
Geneva, 24 May 2016
The United Kingdom (UK)’s controversial support for commercial, low-cost private schools in developing countries has been questioned by a UN Committee on children’s rights.(1) The UK Department for International Development’s support for the for-profit primary and pre-primary school chain, Bridge International Academies (BIA) was singled out as a particular concern.
Concerns were also expressed yesterday during the periodic review of the UK’s implementation of the Convention on the Rights of the Child that commercial private schools in developing countries, with the backing of the UK government, are resisting efforts by governments, such as Kenya’s, to regulate the sector and put in place minimum standards.
The questioning took place during a review of the UK’s implementation of the Convention on the Rights of the Child on 23rd and 24th May in Geneva.
The UN Committee on the Rights of the Child (CRC), which monitors children’s rights, including the right to education, also asked for clarification on the UK’s plan to academise all schools in England.
The 23-strong UK delegation was unable to comment on the UKs support for private schools abroad, or how it was monitoring the impact that ‘millions of pounds’ of UK aid to developing countries is having on children’s right to education. It has promised to provide a written response within 48 hours.
Commercial low-cost private school chains, such as BIA, are coming under greater scrutiny for a number of issues, including: concerns on their quality, which is based on standardised teaching and poor labour conditions; the segregation effect of their fees; and, profit-making from poor families, all in contravention with human rights treaties.(2)
The UK has channelled development aid to low-fee private schools in countries such a Kenya and Nigeria. In an earlier question on increased development aid directed to private actors in education and health, the CRC questioned whether the UK will introduce a legal framework to oblige business to respect children’s rights.
Delphine Dorsi, Executive Coordinator of the Right to Education Project (3), reacted: “The questions from the CRC and the lack of the response from the UK confirm our worry that the UK could be acting in violation of its human rights obligations by harming children’s right to education in poor countries.”
Abraham Ochieng, from the East African Centre for Human Rights based in Nairobi, Kenya, added: “The rapid expansion of commercial schools with development funding is undermining the right to education and government’s efforts to improve education delivery in Kenya. It is essential for Kenyan civil society, in dialogue with the government, to address the situation, and for partner countries such as the UK to refocus their support to free, quality public schools, rather than undermining it in the name of business interests.”
Christine Blower, General Secretary of National Union of Teachers, reacting to a related question put to the UK delegation by the CRC on the government’s intention to turn all schools into academies: “The CRC is right to question the UK Government about its privatisation agenda both at home and abroad. We know that the Government’s intention to fully academise the education system in England will lead to the privatisation of our education system. Education is a human right and a public good, for the good of learners and society not private profit.”
END
Contacts:
+44 77 06 756 077 / delphine.dorsi@right-to-education.org
+44 78 794 480 061 / +44 0207 380 4706
+33 7 81 70 81 96 / sylvain@globalinitiative-escr.org
Notes: