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The right of access to comprehensive sexuality education (CSE) is grounded in fundamental human rights and is a means to empower young people to protect their health, well-being and dignity. This Operational Guidance sets out UNFPA’s framework for CSE, which is one of five prongs to UNFPA‘s Adolescent and Youth Strategy. This document guides UNFPA’s support to governments and other partners as CSE programmes, both in and out of school, are designed, implemented and evaluated. Building on current standards, it outlines steps to identify priorities, implement actions and evaluate outcomes – providing country-specific examples, tools for programme managers and technical advisers.
The guide is available here: http://www.unfpa.org/sites/default/files/pub-pdf/UNFPA_OperationalGuidance_WEB3.pdf
Le droit à l’accès à une éducation complète à la sexualité est ancré dans les droits fondamentaux et permet aux jeunes d’acquérir suffisamment d’autonomie pour préserver leur santé, leur bien-être et leur dignité. Ces orientations opérationnelles définissent le cadre de l’UNFPA pour l’éducation complète à la sexualité, qui est l’un des cinq piliers de sa stratégie pour les jeunes et les adolescents. Elles sont également liées aux quatre autres domaines d’intervention qui concernent: le plaidoyer pour le développement basé sur des données factuelles, l’investissement et la mise en œuvre ; le renforcement des capacités pour la fourniture de services de santé sexuelle et reproductive, dont la prévention, le traitement et les soins liés au VIH; des initiatives courageuses pour atteindre les plus vulnérables; et la participation et le leadership des jeunes.
Le guide est disponible ici : http://www.unfpa.org/sites/default/files/pub-pdf/UNFPA_OperationalGuidance_FR%20-Website_0.pdf
Non-formal education/learning and youth work have again and again proven effective in helping young people to find approaches and solutions to overcome the disadvantage they experience and to become active and constructive contributors to the development of their communities and society as a whole. Yet, youth work and non-formal education/learning as well as their providers, youth organizations and more generally youth workers tend to suffer from poor social and political recognition, and are often considered low-status professions. The following measures increase the value of youth work and non-formal education/learning and contribute to community development across Europe.
The recommendation is available here: http://www.coe.int/t/dg4/youth/Source/Resources/Publications/2015_Recommendation_Enter_en.pdf
« L’éducation/apprentissage non formel et le travail de jeunesse se sont à maintes reprises révélés efficaces pour aider les jeunes à concevoir des stratégies et des solutions pour contrebalancer leur handicap et devenir des acteurs actifs et utiles du développement de leur communauté et de l’ensemble de la société.
Cependant, les travailleurs de jeunesse et de l’éducation/apprentissage non formel, des organisations de jeunesse et, plus généralement, les responsables de jeunes, souffrent souvent d’une piètre reconnaissance politique et sociale, et leur profession a tendance à être considérée comme peu prestigieuse. Les mesures suivantes valorisent le travail de jeunesse et l’éducation/apprentissage non formel et contribuent au développement local à travers l’Europe… »
La recommandation est disponible ici : http://www.coe.int/t/dg4/youth/Source/Resources/Publications/2015_Recommendation_Enter_fr.pdf
L’atelier régional du CIEP dans son Centre local à La Réunion intitulé « La scolarisation des enfants et des jeunes en situation de handicap dans les six îles du sud-ouest de l’océan Indien : état des lieux et perspectives» a permis de réaliser un état des lieux des pratiques de scolarisation existant dans les six îles du sud-ouest de l’océan Indien –Madagascar, Île Maurice, Union des Comores, Îles Seychelles, Mayotte et La Réunion, et d’amorcer également un dialogue inter-associatif, interinstitutionnel et inter-îles afin de favoriser des pistes d’action et de partenariat public-privé.
Les actes de l’atelier sont consultables en ligne ici : http://www.ciep.fr/sources/conferences/la-scolarisation-des-enfants-et-des-jeunes-en-situation-de-handicap-dans-les-iles-du-sud-ouest-de-l-ocean-indien/docs/actes/files/assets/basic-html/index.html#page2
Le compte-rendu de l’atelier en PDF : http://www.ciep.fr/sites/default/files/migration/conferences/la-scolarisation-des-enfants-et-des-jeunes-en-situation-de-handicap-dans-les-iles-du-sud-ouest-de-l-ocean-indien/docs/compte-rendu.pdf
(Londres, 10 juin 2016)
Dans un communiqué sans précédent publié le 9 juin 2016, le Comité des droits de l’enfant de l’Organisation des Nations Unies s’est dit préoccupé par le fait que le Royaume-Uni « finance des écoles privées et informelles à faible coût exploitées par des entreprises commerciales à but lucratif » par le biais de son aide au développement, du fait que cela pourrait avoir contribué à porter atteinte aux droits des enfants dans les pays bénéficiaires.
Le Comité a recommandé au Royaume-Uni de « s’abstenir de financer des écoles privées à but lucratif » et de « donner la priorité à l’éducation de premier degré gratuite et de qualité dans les écoles publiques ».
Le Royaume-Uni a dépensé ces dernières années des millions de livres sterling pour financer des écoles privées à but lucratif dans des pays en développement. Des fonds publics ont en particulier été acheminés par le Ministère du développement international (DFID) du Royaume-Uni à une chaîne très contestée et controversée d’écoles normalisées à but lucratif, Bridge International Academies, qui opère au Kenya, en Ouganda, au Nigéria et en Inde.
Delphine Dorsi, de Right to Education Project, a réagi en déclarant : « Le Comité des droits de l’enfant confirme les soupçons que nous avions émis dans notre rapport, sur le fait que le financement par le Royaume-Uni de Bridge International Academies et autres chaînes commerciales analogues pourrait être contraire au droit international. L’aide au développement devrait aller en priorité à la réalisation du principe de l’éducation gratuite de qualité pour tous, en particulier pour les groupes marginalisés, or ce n’est pas ce que fait le Royaume-Uni en finançant ce type d’écoles. Il s’agit là d’un sérieux avertissement adressé à tous les pays donateurs, d’avoir à respecter à l’étranger leurs obligations touchant les droits humains ».
Kevin Courtney, Secrétaire général par intérim de National Union of Teachers (NUT), le plus grand syndicat d’enseignants, a dit : « National Union of Teachers accueille avec satisfaction les recommandations du Comité des droits de l’enfant, qui a fait siennes nos préoccupations concernant l’éducation inférieure aux normes dispensée dans les pays bénéficiaires les plus pauvres du fait du développement des écoles privées dites « à faible coût ». Le Gouvernement britannique, qui dit au Royaume-Uni être défavorable à ce que l’éducation publique fasse des bénéfices, devrait répondre à ces critiques accablantes et lancer immédiatement un examen du soutien financier apporté par le DFID à ces écoles privatisées et à leur promotion dans les pays du Sud ».
Sylvain Aubry de Global Initiative for Economic, Social and Cultural Rights, a dit : « La recherche que nous avons menée avec nos partenaires au Kenya, en Ouganda et au Ghana a clairement montré que les écoles commerciales à but lucratif qui y sont exploitées compromettent les droits de l’enfant. Le financement octroyé par le DFID à ces écoles est donc illicite, et le Royaume-Uni devrait prendre dès maintenant des mesures pour y mettre fin et remplir les obligations qu’il assume en droit international ».
David Archer, membre pour la société civile du Partenariat mondial pour l’éducation, a souligné : « J’espère que ces importantes observations du Comité des droits de l’enfant amèneront le DFID à repenser l’appui qu’il apporte à des écoles privées à but lucratif de piètre qualité, appui qui est manifestement contraire au bon travail qu’il accomplit par ailleurs pour soutenir l’éducation, en particulier celle des filles ».
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