UNESCO : Éducation à la citoyenneté mondiale – Préparer les apprenants aux défis du XXIe siècle

Ce document a été préparé pour les responsables de l’élaboration des politiques chargés de l’éducation, les praticiens, les organisations de la société civile et les jeunes de toutes les régions du monde qui souhaitent apporter aux apprenants les connaissances, les compétences et les valeurs dont ils ont besoin pour prospérer en tant que citoyens du monde au XXIe siècle.

Cette publication est disponible ici : http://unesdoc.unesco.org/images/0023/002300/230062f.pdf

 

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UNESCO: Global Citizenship Education- Preparing learners for the challenges of the twenty-first century

This document has been prepared for education policy makers, practitioners, civil society organizations and young people from all regions of the world with an interest in equipping learners with the knowledge, skills and values they need to thrive as global citizens in the twenty-first century.

This publication is available here: http://unesdoc.unesco.org/images/0022/002277/227729E.pdf

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eAtlas de l’UNESCO des inégalités entre les sexes dans l’éducation

Avec l’adoption de l’Objectif 4 de développement durable, les gouvernements se sont engagés à éliminer les disparités entre les sexes et à veiller à ce que chaque enfant soit scolarisé et apprenne d’ici 2030. Pourtant, un enfant sur huit âgé de 6 à 15 ans est privé d’éducation de base, et les filles sont les premières exclues. Plus de 63 millions de filles sont non scolarisées et les données semblent indiquer que ce nombre augmente.

L’eAtlas des inégalités entre les sexes dans l’éducation présente un large éventail de données désagrégées par sexe produites par l’Institut de statistique de l’UNESCO (ISU) pour tous les niveaux d’enseignement. Mis à jour avec les dernières données disponibles, l’eAtlas permet aux lecteurs d’explorer les parcours scolaires des filles et des garçons dans plus de 200 pays et territoires. Les cartes et les tableaux de classement, facilement intégrables dans un site web et un blog, peuvent également être utilisés pour évaluer dans quelle mesure les disparités entre les sexes en matière d’éducation évoluent dans le temps.

Afin de mieux évaluer l’ampleur des inégalités entre les filles et les garçons, il est possible d’utiliser l’indice de parité entre les sexes (IPS), défini comme la valeur d’un indicateur donné relative aux filles divisée par la valeur relative aux garçons. Un IPS dont la valeur est égale à 1 indique qu’il n’existe aucune différence entre les filles et les garçons pour un indicateur donné. Un IPS inférieur à 1 indique une disparité entre les sexes en faveur des garçons, et les valeurs supérieures à 1 le contraire. Pour l’UNESCO, un IPS situé entre 0,97 et 1,03 est le reflet de la parité entre les sexes.

L’ISU recueille des données par le biais de ses enquêtes annuelles et de ses partenariats avec d’autres organisations, comme l’OCDE et Eurostat. L’Institut est la source de données officielle utilisée pour effectuer le suivi des objectifs internationaux en matière d’éducation et d’alphabétisme.

COMMENCER

L’eAtlas de l’UNESCO vous permet de :

  • Consulter des indicateurs sélectionnés au niveau mondial, régional ou national ;
  • Consulter toutes les données des tableaux de classement et des graphiques en même temps que les cartes ; et
  • Exporter des cartes et des données pour les utiliser dans un exposé, imprimer un chapitre et partager et intégrer des cartes et des graphiques dans des sites de médias sociaux.

Choisissez un thème dans les onglets Section pour lire le résumé et sélectionnez un indicateur pour commencer l’exploration. Vous pouvez aussi utiliser le champ de recherche pour chercher un indicateur spécifique.

Pour toute question concernant les données, veuillez vous reporter à l’onglet Méthodologie en pied de page, au glossaire de l’ISU des termes statistiques et à la foire aux questions sur les statistiques de l’éducation.

URL : http://on.unesco.org/gender-mapFR
Pour plus d’informations ou pour nous faire part de vos commentaires : uis.publications@unesco.org

 

Consulter l’article  ICI

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AUJOURD’HUI LE MAROC : Contre le business sauvage des écoles privées, une coalition voit le jour

Lutter contre le développement incontrôlé de l’enseignement privé et de la disparition de l’école publique. C’est le combat de la «coalition francophone contre la marchandisation de l’éducation» nouvellement créée et à laquelle la société civile marocaine, représentée par le Mouvement Anfass démocratique, prend part.

Cette coalition vient de voir le jour ce mardi 15 mars 2016 à Paris à l’issu d’une rencontre débat initiée par la Clinique de l’École de Droit de Sciences Po Paris et six associations.

Objectif : coordonner les initiatives existantes dans les pays francophones pour contrer le mouvement de la privatisation des systèmes éducatifs.

Et le Maroc est concerné par ce problème. En effet, selon un rapport d’un collectif d’ONG marocaines publié en 2015,  quelque 191 écoles primaires et secondaires ont été fermées entre 2008 et 2013 dans le pays, notamment à  Rabat et Casablanca. Le rapport indique que d’autres écoles publiques sont menacées de fermeture, ce qui dénote du « recul de l’engagement étatique pour une éducation pour tous, gratuite et de qualité » au Maroc. De même, le document souligne que la part d’élèves dans le privé au primaire est passée de 4 % en 1999 à 15 % en 2015.

A ce sujet, le Maroc avait même été pointé du doigt en septembre 2014 par le comité des droits économiques, sociaux et culturels des Nations unies déplorant que l’école privée soit « une source de ségrégation » au Maroc.

Par ailleurs, dans une note de cadrage, la Coalition francophone contre la marchandisation de l’éducation relève que «chaque année, davantage d’entrepreneurs locaux et d’entreprises multinationales investissent à grande échelle dans le marché jugé très lucratif de l’éducation. Et ce y compris en proposant des services à bas coût, de mauvaise qualité, et visant les populations pauvres».

Ainsi pour la Coalition qui a lancé mardi 15 mars 2016 un appel de la société civile francophone contre la marchandisation de l’éducation et des systèmes éducatifs, l’impact de ce phénomène en termes de contenus éducatifs, de ségrégation territoriale et d’inégalités sociales, et plus généralement de réalisation des droits de l’Homme, en font un défi majeur pour les acteurs et les défenseurs du droit à l’éducation de tous tout au long de la vie.

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ESTEVAL EDITIONS : La société civile francophone se mobilise contre la marchandisation de l’éducation dans le monde

A l’occasion de la Semaine de la langue française et de la Francophonie, une coalition d’organisations francophones de la société civile1 s’est mobilisée contre la marchandisation de l’éducation, le 15 mars 2016, au siège de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Cette mobilisation fait suite, au niveau international, à une croissance sans précédent des acteurs privés dans l’éducation durant les dernières années, notamment dans les pays à faibles revenus, qui est sur le point de transformer totalement des systèmes éducatifs déjà fragiles. De nombreux investisseurs, notamment des entreprises multinationales, s’impliquent à grande échelle dans le marché jugé très lucratif de l’éducation. Et ce y compris en proposant des services à bas coût, de mauvaise qualité, et visant les populations pauvres. L’impact de ce phénomène en termes de qualité des contenus éducatifs, de ségrégation territoriale et d’inégalités sociales, et plus généralement de réalisation des droits de l’Homme, en font un défi majeur pour les acteurs et les défenseurs du droit à l’éducation de tous tout au long de la vie. Cette tendance a été dénoncée par plusieurs rapports, résolutions, et recommandations de l’ONU ou récemment, de la Commission Africaine des droits de l’Homme.

Pour faire face à ce phénomène, les organisations de la société civile à travers le monde francophone ont décidé de lancer une dynamique de mise en réseau, dont le colloque du 15 mars a constitué la première pierre. La réunion a fédéré un groupe unique de chercheurs, acteurs associatifs et syndicaux issus de trois continents, spécialisés dans le domaine de l’éducation ou des droits de l’Homme. Cette journée de réflexion s’est articulée autour des témoignages d’intervenants d’Haïti, du Maroc et du Burkina Faso. Ces réalités de terrain ont été mises en perspectives avec les travaux menés sur le sujet par les chercheurs et les ONG depuis plusieurs années.

Au-delà de l’échange d’expertise, ces apports visent à alimenter l’écriture d’un « Appel de la société civile francophone contre la marchandisation de l’éducation et des systèmes éducatifs », qui sera adressé aux Etats francophones en vue du Sommet de Madagascar de novembre 2016. Cette déclaration commune se fondera sur le respect du droit à l’éducation, la prise en compte des acteurs engagés pour le promouvoir et le renforcement du rôle des Etats et des services publics.

Cette journée de discussion et d’approfondissement a été suivie d’une conférence publique, introduite par M. Georges NAKSEU-NGUEFANG, directeur de la Direction Affaires publiques et Gouvernance Démocratique de l’OIF, et d’un cocktail.

http://www.coalition-education.fr/

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LE COURRIER FINANCIER : La société civile francophone se mobilise contre la marchandisation de l’éducation dans le monde

Responsabilité sociale – A l’occasion de la Semaine de la langue française et de la Francophonie, une coalition d’organisations francophones de la société civile se mobilise contre la marchandisation de l’éducation, le 15 mars 2016, au siège de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).

Cette mobilisation fait suite, au niveau international, à une croissance sans précédent des acteurs privés dans l’éducation durant les dernières années, notamment dans les pays à faibles revenus, qui est sur le point de transformer totalement des systèmes éducatifs déjà fragiles. De nombreux investisseurs, notamment des entreprises multinationales, s’impliquent à grande échelle dans le marché jugé très lucratif de l’éducation. Et ce y compris en proposant des services à bas coût, de mauvaise qualité, et visant les populations pauvres. L’impact de ce phénomène en termes de qualité des contenus éducatifs, de ségrégation territoriale et d’inégalités sociales, et plus généralement de réalisation des droits de l’Homme, en font un défi majeur pour les acteurs et les défenseurs du droit à
l’éducation de tous tout au long de la vie. Cette tendance a été dénoncée par plusieurs rapports, résolutions, et recommandations de l’ONU ou récemment, de la Commission Africaine des droits de l’Homme.

Une journée de réflexion à Paris
Pour faire face à ce phénomène, les organisations de la société civile à travers le monde francophone ont décidé de lancer une dynamique de mise en réseau, dont le colloque du 15 mars constituera la première pierre. La réunion, qui se déroulera au siège de l’organisation internationale de la Francophonie, doit fédérer un groupe unique de chercheurs, acteurs associatifs et syndicaux issus de trois continents, spécialisés dans le domaine de l’éducation ou des droits de l’Homme. Cette journée de réflexion s’articulera autour des témoignages d’intervenants d’Haïti, du Maroc et du Burkina Faso. Ces réalités de terrain seront mises en perspectives avec les travaux menés sur le sujet par les chercheurs et les ONG depuis plusieurs années.

Au-delà de l’échange d’expertise, ces apports visent à alimenter l’écriture d’un « Appel de la société civile francophone contre la marchandisation de l’éducation et des systèmes éducatifs », qui sera adressé aux Etats francophones en vue du Sommet de Madagascar de novembre 2016. Cette déclaration commune se fondera sur le respect du droit à l’éducation, la prise en compte des acteurs engagés pour le promouvoir et le renforcement du rôle des Etats et des services publics. Cette journée de discussion et d’approfondissement va s’achever par une conférence publique, introduite par M. Georges Nakseu-Nguefang, directeur de la Direction Affaires publiques et Gouvernance Démocratique de l’OIF.


Publié le : 10/03/2016 à 19:37

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SAVOIRS & CONNAISSANCES : Une mobilisation contre la marchandisation de l’éducation dans le monde

A l’occasion de la Semaine de la langue française et de la Francophonie, une coalition d’organisations francophones de la société civile se mobilise contre la marchandisation de l’éducation, le 15 mars 2016, au siège de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF : 19-21 Avenue Bosquet, 75007 Paris).

Cette mobilisation fait suite, au niveau international, à une croissance sans précédent des acteurs privés dans l’éducation durant les dernières années, notamment dans les pays à faibles revenus, qui est sur le point de transformer totalement des systèmes éducatifs déjà fragiles.

De nombreux investisseurs, notamment des entreprises multinationales, s’impliquent à grande échelle dans le marché jugé très lucratif de l’éducation. Et ce y compris en proposant des services à bas coût, de mauvaise qualité, et visant les populations pauvres.

L’impact de ce phénomène en termes de qualité des contenus éducatifs, de ségrégation territoriale et d’inégalités sociales, et plus généralement de réalisation des droits de l’Homme, en font un défi majeur pour les acteurs et les défenseurs du droit à l’éducation de tous tout au long de la vie. Cette tendance a été dénoncée par plusieurs rapports, résolutions, et recommandations de l’ONU ou récemment, de la Commission Africaine des droits de l’Homme.

Pour faire face à ce phénomène, les organisations de la société civile à travers le monde francophone ont décidé de lancer une dynamique de mise en réseau, dont le colloque du 15 mars constituera la première pierre.

La réunion fédérera un groupe unique de chercheurs, acteurs associatifs et syndicaux issus de trois continents, spécialisés dans le domaine de l’éducation ou des droits de l’Homme. Cette journée de réflexion s’articulera autour des témoignages d’intervenants d’Haïti, du Maroc et du Burkina Faso. Ces réalités de terrain seront mises en perspectives avec les travaux menés sur le sujet par les chercheurs et les ONG depuis plusieurs années.

Au-delà de l’échange d’expertise, ces apports visent à alimenter l’écriture d’un « Appel de la société civile francophone contre la marchandisation de l’éducation et des systèmes éducatifs », qui sera adressé aux Etats francophones en vue du Sommet de Madagascar de novembre 2016.

Cette déclaration commune se fondera sur le respect du droit à l’éducation, la prise en compte des acteurs engagés pour le promouvoir et le renforcement du rôle des Etats et des services publics.

Cette journée de discussion et d’approfondissement sera suivie, à 17h45, d’une conférence publique, introduite par M. Georges NAKSEU-NGUEFANG, directeur de la Direction Affaires publiques et Gouvernance Démocratique de l’OIF, et d’un cocktail. Un espace de ressources documentaires sera mis à disposition.

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Rabindranath Tagore ( 1861-1941)

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Guide pratique pour une communication publique sans stéréotype de sexe

« Discours, colloques, affiches, vidéos, sites web, textes officiels, nominations des équipements et des rues : la communication des pouvoirs publics, qu’elle soit interne ou externe, prend des formes très diverses. Sans une vigilance continue, les stéréotypes de sexe sont reproduits, parfois de manière inconsciente. Leur présence se manifeste par trois aspects. D’abord, un fort déséquilibre entre le nombre de femmes et le nombre d’hommes représenté.e.s. Ensuite, un enfermement des femmes et des hommes dans un répertoire restreint de rôles et de situations, limitant de fait leurs possibilités d’être et d’agir. Enfin, une hiérarchisation des statuts et des fonctions de chaque sexe au détriment des femmes.
Or ces représentations auxquelles les citoyen.ne.s sont constamment exposé.e.s renforcent les stéréotypes de sexe et les inégalités entre les femmes et les hommes. Pour renverser cette tendance, l’État et les collectivités territoriales se doivent d’être exemplaires, notamment via l’utilisation de l’argent public destiné à la communication.
Pour ce faire, ce Guide est un véritable outil à votre disposition. Il s’inscrit dans la poursuite du rapport relatif à la lutte contre les stéréotypes de sexe.
10 recommandations pratiques ont été co-construites pour communiquer sans stéréotypes. Nous remercions les linguistes, les professionnel.le.s de la communication, les fonctionnaires et toutes celles et ceux, dont les membres du HCEfh, qui y ont contribué.
Nous savons pouvoir compter sur vous pour utiliser et diffuser ce Guide en interne comme à vos prestataires extérieurs afin qu’il devienne un outil de référence. Le faire vivre, c’est faire de l’égalité entre les femmes et les hommes une réalité pour toutes et tous ! »

 

guide pratiqueConsultez le guide

 

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Publié dans Egalité femmes/hommes

ACPP “Bulletin”

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Rapport d’activité 2014

“Le chemin se fait en marchant” disait déjà le grand poète espagnol António Machado.

Au cours de l’année 2014, le Club a construit sa propre identité ; comme nous, hommes et femmes modelons notre personnalité, le Club a lui aussi consolidé sa trajectoire. Il a mûri et, peu à peu, les idées, les projets, les rêves se sont matérialisés et ont fait leur chemin.

Rappelons les objectifs et les valeurs énoncés pour l’année 2014 :

  • Développement de ses membres dans une perspective interculturelle
  • Consolider sa structure d’association régionale
  • Développer des activités régulières au niveau local
  • Augmenter son influence internationale

Nous pouvons affirmer avec certitude qu’ils ont tous été renforcés et qu’à bien des égards ils sont allés au-delà de toutes attentes.

  • Les membres du       Club ont eu l’opportunité de participer à de nombreuses activités tant au Portugal   qu’à l’étranger : ateliers, sessions de formation, échanges et séminaires.
  • L’accroissement et le renforcement des différentes activités en partenariat avec des organisations et associations locales ont permis au Club d’approfondir ses compétences dans différents domaines.
  • Partenariats avec les collectivités locales, participation à des projets et expansion des activités socioculturelles, participation sociale.
  • Renforcement des       partenariats existants, notamment la relation privilégiée avec les CEMEA de France et entrée dans différents réseaux internationaux.

Nous soulignerons deux étapes fondamentales, pour l’histoire du Club en 2014 :

  1. Le Club comme employeur.

Les collaborateurs/volontaires les plus assidus ont été invités par le Club à exercer une activité régulière et rémunérée.

Comme employeur, le Club a assumé son engagement citoyen. Au cours du 1er semestre, Morgane Masterman et Magda Alves ont intégré l’équipe permanente. Au 2ème semestre, Maria Penide et Ana Isabel Sousa les ont suivies. Trois de ces postes ont bénéficié de mesures d’aide à l’emploi de l’IEFP.

À l’équipe permanente s’est jointe la précieuse contribution de nombreux volontaires et stagiaires.

Une référence spéciale au volontaire Bruno Costa, qui durant près de 6 mois à collaborer quotidiennement avec le Club dans le secteur de la communication et du marketing ; il convient également de souligner les précieux services rendus volontairement par Sélim Ghezal au Club.

2. Le Club entité gestionnaire du projet “Sementes a Crescer”.

En Novembre 2014, le Club a été invité à intégrer un consortium constitué de 10 partenaires et à assumer les fonctions d’entité gestionnaire du projet « Sementes a Crescer ».

Le projet “Sementes a Crescer” intègre le programme “Escolhas” – E5G, depuis 2001 (1ère génération du programme “Escolhas”), et intervient dans une collectivité territoriale qui agrège le relogement de la “Quinta da Curraleira” et du “Casal do Pinto”, deux anciens bidonvilles, aujourd’hui disparus, situés au centre de Lisbonne.

L’intégration du projet “Sementes a Crescer” a permis au Club d’agir dans des domaines où jusqu’à présent il n’avait pas une place prépondérante. Dorénavant, le Club peut ajouter à son activité principale, axée sur la formation/l´éducation et la mobilité des jeunes, le travail dans le domaine social, contribuant, plus activement, à venir en aide aux secteurs de la population de grande carence économique, sociale et culturelle.

MEMBRES

En décembre 2014, le Club comptait 66 membres dont :

– 75% Femmes

– 25% Hommes

– Plus de 50% des membres ont moins de 30 ans.

Être membre du Club ne comporte actuellement aucun coût car le paiement d’une cotisation en temps de crise, peut être un facteur d’exclusion.

L’objectif est d’attirer plus de jeunes au mouvement associatif, en leur proportionnant des outils qui contribueront à leur formation et leur développement civique et culturel.

 

MOBILITÉ & FORMATION ACCUEIL

  • 3 personnes accueillies durant 12 mois, venues de Pologne :

– Stages Léonard de Vinci. Organisation d’envoi : Cracow University of Economics.

– Domaines de travail : finances, comptabilité, contrôle/audit, marketing

  • Plus de 50 personnes accueillies durant 9 semaines ou plus, venues de France

– Stages Léonard de Vinci post-formation. Organisation d’envoi : CEMEA Aquitaine, CEMEA

Nord-Pas-de-Calais, CEMEA Rhône-Alpes et Échanges et Partenariats.

  • Près de 30 personnes accueillies entre 8 et 10 semaines, venues d’Espagne :

– Stages Léonard de Vinci. Organisation d’envoi : CEMEA Aquitaine (en application d’un protocole

avec le Colexio de Educadores (CEESG de la Galice).

– Mobilité Galeuropa – Conseil de Galice: 13 personnes accueillies, pour 8 semaines chacun(e), dans

les domaines suivants : psychologie, éducation et travail social, ressources humaines, biologie, soins

infirmiers, administration publique, journalisme, analyses cliniques et laboratoire, beaux-arts et

design de mode.

  • Près de 180 personnes venues de France reparties en groupes de 15 à 25 personnes, accueillies durant 2 semaines dans le cadre de leur formation. Organisation d’envoi : CEMEA Nord-Pas-de-Calais, CEMEA Provence-Alpes-Côte d’Azur. Un de ces groupes était constitué par des membres du conseil d’administration du CEMEA Nord-Pas-de-Calais : ils ont pu ainsi faire l’expérience d’une mobilité, en comprendre l’importance pour les stagiaires que l’organisation envoie régulièrement.
  • En janvier, le Club a accueilli une formation de formateurs/trices en mobilité, en partenariat avec les CEMEA Aquitaine et CEMEA Nord-Pas-de-Calais (4 jours). Cette formation était destinée à partager nos compétences, améliorer le travail en commun, systématiser nos pratiques, créer des outils qui nous permettent de mieux travailler ensemble.
  • En mars et durant 3 jours, le Club a accueilli des responsables des CEMEA Nord-Pas-de-Calais et CEMEA Aquitaine (France), Berliner Arbeitskreis für politische Bildung e.V. (Allemagne), Instituto Piaget/Nuclisol (Portugal) afin de rédiger une candidature au programme ERASMUS+.
  • En avril, le Club a accueilli deux formateurs/trices qui ont dynamisé une formation en animation socioculturelle organisée par la Club à Lisbonne.
  • En septembre : Accueil de jeunes et représentants d’associations de Paris et Séville pour commémorer les 10 ans de l’association française Échanges et Partenariats. Dans le cadre de cette visite de 4 jours, une rencontre “Solidarizemos as nossas lutas”, sur la coopération internationale de mouvements de la société civile liés à différents domaines, a été organisée.

 

MOBILITÉ ET FORMATION : ORGANISATION

  • Avril et octobre : Formation OFAJ (Agence Franco-allemande pour la jeunesse) “Pédagogie d’Intervention sociale et Animation – Découverte, immersion et échange de pratiques pédagogiques autour de l’Animation et de l’Intervention sociale à Lisbonne, Berlin et Bordeaux” : en avril à Berlin et en octobre à Bordeaux. Avec des participants et des formateurs/trices du Portugal, de France, de Galice et d’Allemagne. Co-organisée par le Club interculturel, le CEMEA Aquitaine, l’École supérieure d’éducation de Lisbonne, le théâtre IBISCO, le Centre Français de Berlin, le Collège d’éducateurs/trices de Galice, l’École nouvelle galicienne. La première phase de la formation a eu lieu à Lisbonne en octobre 2013.
  • Mai : le Club a été invité à devenir partenaire du projet “Plateforme d’animation volontaire”, présenté par le CEMEA National. En mai, Morgane était présente à Paris, pour participer à la Commission de pilotage et travailler sur le projet ; celui-ci n’a pas pu être soumis en octobre, mais le dossier de candidature continue à être travaillé afin d’être présenté lors d’une des prochaines échéances.
  • «SOLTA O TEU   FRANCÊS »   – Depuis novembre, Raphaëlle et David participent aux activités du Club en régime de volontariat. Ils offrent aux membres des cours de français, utilisant des méthodes d’éducation active où l’oralité est privilégiée.

 

MOBILITÉ ET FORMATION : PARTICIPATION

  • Mai: le Club était représenté au Forum Jeunesse Méditerranée, à Monastir (Tunisie). Ce fut l’occasion de visiter l’association partenaire Les Amis du Belvédère à Tunis.
  • Juin : Participation de deux collaboratrices (Magda et Morgane) à une formation en animation volontaire BAFA (Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animateur) des CEMEA Nord Pas-de-Calais.
  • 9-17 septembre : Participation du Club (Maria) au CME Contact-Making Event : “Let’s

Cooperate for Strategic Partnerships” – Erasmus +. YOUNET – Bologne, Italie.

  • Septembre – Participation (Bruno Costa, Ana Raquel Pinto, Miriam Carolas, et Sofia Carvalho) à l’échange de jeunes : « We can do it », Moldavie. Le groupe a préparé une vidéo : Portugal / Carina – « We can do it » (Moldavie) avec la collaboration de la commune d’Ajuda et du stagiaire Thomas Champion (CEMEA Rhône-Alpes).
  • 1-11 octobre : Participation du Club (Maria) au Training Course : « Inclusive Growth and

Employability of Young People with Fewer Opportunities ». AMSED: Strasbourg, France.

  • Octobre– Suite à une formation en comic strip  co-organisée par le Club et les CEMEA NPDC en 2013, le Club en a, de nouveau, organisé une de 5 jours, pour les jeunes français(es) formateurs (trices) en animation socioculturelle et en mobilité d’apprentissage, présents durant 15 jours à Lisbonne. Ce travail continu dans le domaine de la bande dessinée s’est traduit par l’approbation d’une candidature du Club Interculturel Européen, en partenariat avec les CEMEA NPDC, au programme Erasmus+. La candidature a été acceptée et le projet débutera en juin 2015. Celui-ci prévoit la formation de 3 mobilités de 20 jeunes travailleurs/euses (jusqu’à 30 ans) avec des jeunes.
  • 20-26 octobre : Participation du Club (Ana Isabel) au séminaire “Make the move to Erasmus+” à Mulhouse, France.
  • 10-12 novembre : Bruxelles, Belgique : Transnational partnership meeting Hikikomori – (José, Maria) avec des organisations de la Suède, Roumanie, Hollande, Pologne pour de futurs partenariats dans le cadre du FSE et Erasmus + dans le domaine de la Jeunesse, NEET et l’Employabilité.
  • À Hambourg, participation de Magda à la troisième phase d’une formation trilatérale, financée par l’OFAJ, en médiation interculturelle.
  • Décembre – Participation de José Brito Soares et de Nuno Martinho (professeur de l’EPAD) au Festival du film d’éducation à Évreux, comme membres du jury.

 

LOISIRS ÉDUCATIFS ET ÉDUCATION INTERCULTURELLE

  • Juillet : Accueil d’un échange binational avec des jeunes de 14 et 17 ans français/es et portugais/es, co-organisé par le Club et la ville de Seclin (France). Financement du programme ERASMUS +.
  • Développement de plusieurs animations linguistiques en portugais et en français principalement, mais aussi en espagnol et en anglais pour des jeunes et/ou travailleurs/euses socioéducatifs/ives ainsi que la création de jeux interculturels pour différents publics.

STAGES CURRICULAIRES

  • Juin-Juillet : stage curriculaire de Miriam Carolas au Club (stage professionnel – EPAD).
  • Le Club accueille à partir de septembre et durant 10 mois, 3 étudiants du Master en traduction de la faculté de lettres de l’université de Lisbonne (coordonnatrice/tutrice : Natalia Telega-Soares).
  • Le Club accueille cinq stagiaires de l’EPAD dans le secteur du marketing, des relations publiques et de la publicité (desquels 2 continuent en 2015).

 

COMMUNICATION ET MULTIMÉDIA

  • La radio du Club, créée en 2013 par Gersende Forestier, a été reprise par Morgane en octobre dans le cadre de la formation linguistique et culturelle des stagiaires en mobilité de longue durée, comme outil d’expression et d’apprentissage interculturel dans le cadre de l’accueil de groupes en mobilité de courte durée. Le Club a investi en matériel (un enregistreur et une plateforme de divulgation sound cloud pro unlimited).
  • Dans le cadre du stage de Camille conformément au programme Léonardo et suite au travail développé par Charlotte durant son Léonardo (toutes les deux ont été envoyées par le CEMEA Aquitaine) nous avons publié en collaboration avec l’association « Mais Cidadania » un guide d’accueil en français dirigé aux personnes qui viennent à Lisbonne faire une mobilité (format PDF).
  • Novembre : Plusieurs éléments du Club (Bruno et Morgane + stagiaires EPAD Bruno et António) étaient présents à la formation RadioActive101 (projet européen auquel appartiennent plusieurs projets  « Escolhas ») au CNAI (Centre National d’Appui aux Immigrants).
  • Décembre : Vidéo réalisée par Bruno Costa : Sélim + présentation de son projet de Savate à Lisbonne avec la collaboration de Bruno et António (stagiaires EPAD).
  • Vidéo « We Can Do It ».

RÉSEAUX

Le Club a été accepté comme membre des organisations ALDA (Association of Local Democracy Agencies) dont le siège est à Strasbourg et FICEMÉA (Fédération Internationale des Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Education Active) sise à Bruxelles.

 

ATELIERS, CAFÉS PÉDAGOGIQUES ET MANIFESTATIONS LOCALES

  • Mars : Plusieurs éléments du Club (stagiaires et équipe) ont participé au projet Planisphère de l’interculturalité dans une école de Monte da Caparica.
  • Octobre : Premier moment de convivialité interculturel ! Il se réalise le premier vendredi de chaque mois.
  • Octobre : Formations internes : un atelier en ressources humaines dynamisé par le stagiaire galicien Pablo.
  • Octobre et novembre : Ouverture des formations à l’extérieur : un atelier appelé “Trucs pour stimuler la créativité” dynamisé par Morgane, une session en octobre et une autre en novembre.

 

ERASMUS+.

  • Décembre : Participation à des actions divulgatrices et de formation de l’Agence nationale :

> Programme Erasmus + : Action de divulgation Erasmus+ 2015 / formation en formulaires de

candidature.

> Centre National Europass : Hunting Jobs : Jeunes à la recherche du 1er emploi.

  • Décembre : travail sur les candidatures à l’ERASMUS+:

> Agrément pour le Service volontaire européen (Hosting, Sending, Coordinating)

> KA2 : Partenariat stratégique pour les Jeunes NEET et l’employabilité (Partenaires : Hollande,

Suède, Roumanie et Angleterre).

 

« SEMENTES A CRESCER »

  • Novembre : Le Club devient l’entité gestionnaire du projet « Escolhas » : « Sementes a Crescer » – Olaias, commune de Beato.
  • Décembre : une équipe de Passos Manuel renforce l’équipe pédagogique de « Sementes a Crescer » : fêtes, activités de loisirs, soutien scolaire et dynamiques interculturelles.

 

AUTRES PROJETS

  • Ouverture d’une section sportive au Club Interculturel Européen, grâce au travail et aux efforts de Sélim Ghezal. Focus sur le développement de la Savate et début des travaux dans le domaine de l’insertion par le sport.
  • Début du projet “Percursos Inspiradores”. Objectif : interroger des personnes de différents domaines dont le parcours est une source d’inspiration. La première interview a été réalisée avec André Neres, jeune athlète d’escalade portugais. Une seconde interview a été réalisée avec la violoniste polonaise résidente au Portugal, Natalia Juskiewicz.
  • Nous continuerons les interviews réalisées par les stagiaires avec l’appui de l’équipe afin d’élaborer une publication.
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Publié dans Portugal