La biennale internationale de l’Éducation Nouvelle approche !

Par le comité de pilotage de la Biennale internationale de l’Éducation Nouvelle

Nous y sommes… Presque !

Cela fait plus d’un an maintenant que nous avançons sur la préparation de cet évènement. Le comité de pilotage, des militantes et militants de nos mouvements, ont affiné le déroulé, précisé les contenus, travaillé sur l’environnement (l’accueil, les propositions culturelles, les expos, la librairie,…) de cette première Biennale internationale de l’éducation nouvelle. Cette nouvelle plaquette présente une partie de ces évolutions sans toutefois afficher un programme définitif car nous avons encore du travail ! C’est engagée à nos côtés, dans une posture affirmée de partenaire, que l’équipe de l’ Ecole supérieure de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche) (ESEN-ESR) construit les conditions de notre accueil et apportera ses propres contributions, sur le fond, au service des objectifs de cette Biennale.

La contribution active de la Fédération Internationale des Mouvements des Écoles Modernes, du LIEN  aux côtés de la FICEMEA doit favoriser par ailleurs le renforcement de la dimension internationale de cette première édition. Tout est donc prêt pour faire de cette première Biennale un évènement militant,thumbnail of BIEN_plaquette_presentation engagé et productif. Il ne manque plus que vous ! Car la réussite dépend de chacune et chacun d’entre nous. Nous ne serons pas participant.e.s mais auteur.e.s, acteur.rice.s et ça fera toute la différence.

http://www.biennale-internationale-de-l-education.org

 

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thumbnail of BEINAnnexe 2

Communiqué de presse

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LA COMPETENCIA EN EDUCACIÓN CONDUCE A LA DESIGUALDAD

(La red francesa, Comercialización de la educación, Recursos sobre la comercialización, Recursos temáticos)

Por correo electrónico
ORIGEN CON ENLACE: Consejo Superior de Educación (CSE)

Si la competición en educación parece eficaz y legítima desde el punto de vista de la libertad de elección, lo que en realidad hace es alimentar un círculo vicioso que destruye la confianza en la clase ordinaria de la escuela pública. Esta es una de las principales conclusiones del informe sobre el estado y las necesidades de la educación 2014-2016, Volver a dirigir el rumbo a la equidad, iniciado hoy por el Consejo de Educación Superior.

El trabajo realizado por el Consejo reveló que Quebec debe estar alerta si quiere preservar la equidad de su sistema de educación. La competencia que se ha desarrollado entre las escuelas alimenta la percepción de que todas las escuelas son iguales. Este contexto acentúa la tendencia de reagrupar a los alumnos según su perfil socioeconómico y educativo, lo que contribuye al desarrollo de una escuela de diferentes niveles. De esta manera, los más vulnerables se encuentran en las condiciones menos propicias para el aprendizaje.

“El acceso a una educación que responda a sus necesidades es un derecho y la calidad del servicio recibido en las escuelas no debería estar supeditada a la capacidad de pago de los padres. Quebec dispone de un sistema educativo eficiente en el que se puede construir, pero, sin embargo, no debe menospreciar la equidad y dejar que las bases de este sistema se desmoronen”, alega el presidente del Comité del informe sobre el estado y necesidades de la educación 2014-2016, el Sr. Claude Lessard.

La misión de la escuela, que consiste en permitir que todos los niños desarrollen su máximo potencial, debe seguir siendo una prioridad en Quebec. Para volver a dirigir el rumbo a la equidad, el Consejo hizo hincapié en la importancia de reducir las diferencias entre los medios con el fin de restablecer la confianza en la red pública. Es mejor ofrecer a los padres la posibilidad de elegir la escuela pública de su barrio en lugar de obligarlos a resignarse, ya que esto solo aumentará el sentimiento de injusticia. Un padre no debería sentir que tiene que elegir entre sus valores progresistas y el interés de su hijo.

Para frenar esta tendencia y reducir las diferencias entre los medios, el Consejo considera que es necesario realizar, sin demora, las inversiones necesarias para que todas las escuelas cuenten con los recursos materiales y humanos necesarios para proporcionar una experiencia educativa de calidad a todos sus alumnos. La adición de recursos es un paso necesario y urgente, pero no va a ser suficiente para impedir que algunas desigualdades se mantengan. De hecho, desde el principio de la educación, la escuela estableció una cultura de la competencia entre los alumnos y creó una jerarquía que condena a algunos niños: entonces, la escuela transforma ciertas diferencias de dones, de ritmos y de talentos en desigualdades.

“Habría que ofrecer a cada niño el tiempo suficiente para que desarrolle su confianza en su capacidad de aprender”, concluyó la presidenta interina y secretaria general del Consejo, la Sra. Lucie Bouchard.

Para volver a dirigir el rumbo a la equidad, el Consejo considera apropiado adoptar una visión de éxito que tenga más en cuenta todos los aspectos de la misión de la escuela. Instruir a la vez que reconoce la diversidad de las personas, valorizar los diferentes tipos de recorridos y evaluar los aprendizajes sin clasificar prematuramente son gestos que permitirán calificar a más jóvenes. La disminución de las diferencias entre los medios favorecerá la diversidad escolar y social en las aulas y las escuelas, lo que permitirá concretizar el aspecto socializar de la misión de la escuela.
El informe sobre el estado y las necesidades de la educación 2014-2016 fue hecho público después de haber sido presentado en la Asamblea Nacional por el ministro de Educación, Esparcimiento y Deporte, el Sr. Sébastien Proulx, conforme a las disposiciones de la Ley del Consejo Superior de Educación.

Presentado por Mélissa Lessard el 20 de octubre de 2016 a las 10:18

 

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L’abus de Google à l’École peut nuire gravement à notre société…

L’éducation est un terrain de jeu mondial fructueux pour les grands groupes du numérique nommés les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) et d’autres en quête de nouveaux marchés à conquérir. Cette transformation des systèmes éducatifs touche tous les pays du monde.Face a ce phénomène, la fonction de l’État devrait être de réguler les services éducatifs, de s’assurer que ces nouveaux supports et usages numériques bénéficient à l’intérêt public, aux services des élèves des professeur.e.s et des acteurs socio-éducatifs. Ce faisant, les usages du numérique devraient s’inscrire dans une politique publique en tant que bien commun.

L’exemple de ce qui se passe actuellement en France illustre tristement cette dérive mondiale et est de nature à sonner une nouvelle fois l’alarme ! Le ministère de l’éducation nationale français propose cette semaine de donner accès aux données numériques des élèves et des enseignant.e.s aux GAFAM.

Ainsi, il deviendrait le partenaire de ces groupes et ouvre les portes à l’introduction des GAFAM dans l’institution scolaire. Mathieu JEANDRON, Directeur du Numérique pour l’Éducation au ministère autorise à travers une lettre adressée aux Délégués Académiques du Numérique (DAN) la connexion des annuaires de l’institution avec les services Google !1

Comme indiqué dans l’article du Café Pédagogique, «L’enjeu, ce sont les données des élèves. Les entreprises auront accès aux annuaires des établissements et aux informations nominatives sur les élèves et les enseignants. Elles pourront suivre les déplacements et redoublements des uns et des autres, voir ce que le professeur X utilise comme ressource ou ce que fait l’élève Y. Ces données seront une manne pour le ciblage publicitaire ou pour revendre des informations à des partenaires». L’objectif sous-jacent est de développer des «pédagogies » inscrites dans une volonté de profit, de produire de futurs consommateurs de produits. Cette tendance est déjà hélas largement à l’œuvre dans de nombreux pays du monde. Lire à ce sujet l’excellent article de Natasha Singer «How google took over the classroom» dans le New York Times.2

M. JEANDRON explique que tout ceci s’inscrit dans le cadre d’une charte de confiance décrite comme un «pacte de confiance portant sur l’engagement de la protection de la vie privée des élèves et des enseignants ». Cette charte est certes au travail mais n’existe pas pour le moment, la CNIL interpellait d’ailleurs il y a peu sur l’urgence « Il est temps de mettre un cadre à toutes ces offres économiques » insistant sur le fait que « ce document devait être un outil contraignant (circulaire ou autre), robuste. Sur ce point-là, nous n’avons aucun élément de réponse à ce stade. »34

Si ce courriel de M.JEANDRON devait devenir une circulaire, ce serait, après l’accord Microsoft5, une ouverture grave de l’éducation aux marchés et un abandon coupable de la protection que l’État doit à ses citoyens.6

Nous assistons actuellement, à l’échelle mondiale, à la substitution des financements publics (nationaux et internationaux) par des financements issus de partenariats confiés à des sociétés privées qui ont plus des objectifs de profit que des visées d’éducation de la population. La tentative globale d’inclure l’éducation dans la sphère des rapports marchands n’est pas nouvelle. Mais l’irruption du « numérique » a fait entrer ce processus dans une nouvelle ère. Elle ne vise plus seulement l’enseignement en tant qu’activité de service mais massivement les ressources et contenus éducatifs en tant que « produits pédagogiques ». Ceci inclut des « modèles d’éducation » dont nous savons qu’ils ne sont pas neutres et plus dramatiquement encore la collecte et la privatisation de données précieuses à exploiter ! Selon les principes de l’appel des réseaux internationaux contre la marchandisation de l’éducation « L’État doit garantir que l’éducation ne soit pas instrumentalisée par les acteurs économiques et que soient appliqués les principes soutenant la démocratie tels que les principes de transparence, participation et responsabilité.

En analysant cette nouvelle orientation politique du ministère l’éducation nationale français sous le prisme de ces trois principes nous constatons que le processus marchand à l’œuvre est en contradiction avec l’idéal démocratique que nous défendons.

Transparence
L’ouverture au GAFAM contredit l’idéal de transparence de par le flou concernant l’utilisation des données des élèves et des enseignant.e.s par les groupes numériques. La récolte des données est une arme économique majeure. Cette récolte est stockée hors des frontières de collecte, posant la question majeure de la souveraineté des données. Les informations récoltées peuvent ensuite être vendues ou échangées dans une totale opacité pour les citoyen.ne.s. En laissant les GAFAM s’immiscer dans les pratiques des élèves dès le plus jeune âge, ces grands groupes ne les considèrant pas comme des apprenant.e.s mais de futur.e.s consommateurs.trices, l’Etat les rend vulnérables en ne jouant pas son rôle de régulateur.

Participation
Le numérique est et doit demeurer un support, un outil au service d’un projet pédagogique. Il ne faut pas confondre l’outil et la finalité de cet outil. Ce qui prime c’est la relation pédagogique, la construction du savoir par les élèves, la formation des enseignant.e.s, des acteurs.trices socio-éducatif.ve.s mais aussi la relation que les élèves créent avec les outils numériques en dehors de l’asservissement.

Les usages numériques transforment profondément les pratiques pédagogiques. Or, nous devons nous réapproprier ces outils, ces données pour en faire un bien commun accessible à tous et toutes.

Responsabilité
L’introduction du numérique par les GAFAM dans l’institution scolaire met en péril la question de l’appropriation par les citoyens.ne.s. Le numérique est envisagé comme un espace réservé aux expert.e.s et le grand public ne se considère pas armé pour comprendre, analyser les enjeux actuels.
La responsabilité de l’État est d’offrir un cadre de régulation, de protéger les citoyen.nes, d’introduire une réflexion critique.

Dans ce contexte international, nous militons pour la prise en compte dans le débat public (national, européen et mondial) des sujets liés au numérique comme objets intégralement politiques, sociétaux et philosophiques. Nous soutenons que le rôle des États est d’encourager et garantir les services, les logiciels et les écosystèmes qui donnent aux individus une capacité de critique, de conserver et d’accroître leur souveraineté numérique individuelle. Il est urgent d’informer les citoyen.ne.s sur les dérives en cours, réintroduire une critique de la question numérique par la formation et de sensibiliser à l’usage des logiciels libres, des services en ligne loyaux, décentralisés, éthiques et solidaires.

1 -Voir article du Café Pédagogique, 16 mai 2016, François Jarraud.

2-Voir article de Natasha SINGER dans le New York Times
3-Pour la CNIL, “la France doit garder la souveraineté de ses données scolaires”
4-Communiqué du 22 mai de la CNIL
5-Voir le texte de l’accord Microsoft-Ministère de l’Éducation.
6-TV5 Monde : «Éducation nationale, les données scolaires bradées aux GAFAM ?
Contacts presse : CEMEA France : pascal.gascoin@cemea.asso.fr
FICEMEA : ficemea@cemea.asso.fr
Premiers signataires
ABULEDU-FR https://abuledu.org
ACCP (Espagne) http://www.acpp.com/
AFOUL https://aful.org/
APRIL http://www.april.org
asbl RTA http://www.rta.be/
Association Nationale Scientifique de Jeunes ”Découverte de la Nature” Algérie.
CAEB http://www.caeb-benin.com/
CASAD-Bénin
CEDEM http://lecedem.org/
CEMEA Belgique http://www.cemea.be
CEMEA Burkina Faso
CEMEA France http://www.cemea.asso.fr
CEMEA Russie
CEMEA Suisse : http://formation-cemea.ch/
CEMÉA Suisse du Tessin : http://cemea.ch/
Collectif des travailleur·se·s précaires de l’ESR : https://precairesesr.fr/
Education&Devenir http://educationetdevenir.fr/
EEDF http://www.eedf.fr
FCPE https://www.fcpe.asso.fr
FG PEP http://www.lespep.org/
FICEMEA http://www.ficemea.org
FRAMASOFT : https://framasoft.org
Guépier d’Afrique (RD Congo)
ICEM www.icem-pedagogie-freinet.org
JEVEV ONG http://ongjevev.wixsite.com/ong-jevev
Le Planning https://www.planning-familial.org/
Le Réseau Ivoirien pour la Promotion de l’Education Pour Tous (RIP- PT) http://www.ripept.org
PAPDA (Plateforme Haïtienne de Plaidoyer pour un Développement Alternatif)
UNAFETPCI Union Nationale des Formateurs de l’Enseignement technique et Professionnel de Côte d’Ivoire
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Publié dans Dans la presse, Marchandisation de l'éducation, Ressources thématiques Tagués avec :

Ceméa Martinica

Presentación

Un movimiento por una nueva educación

“Actuar en temas educativos, culturales y sociales” 

 

60 ans – swasant lanné an péyi-a

1954 – 2014

Los Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Education Active (CEMEA) (Centros de Capacitación en Métodos Educativos Activos), una asociación complementaria de la enseñanza pública, declarada de utilidad pública por la Ley 1901, constituyen un amplio movimiento por la educación y la capacitación, formado por profesionales que participan en intervenciones educativas, sociales y culturales.

NUESTROS VALORES

Solo hay una educación que nos pertenece a todos. La educación existe en todo momento. Todo ser humano se puede formar y hasta transformar durante toda su vida. Él tiene el deseo y las posibilidades.

UN MOVIMIENTO EDUCATIVO

Una educación que promueva oportunidades para que todos, niños, adolescentes y adultos, puedan adquirir una mayor conciencia del mundo que los rodea, asumir un sentido de pertenencia de dicho mundo y cambiarlo para lograr el progreso individual y social.

UN CENTRO DE CAPACITACIÓN

La capacitación es nuestro método privilegiado de intervención. La capacitación permite que una persona centre su propia actividad y su aprendizaje en su objetivo principal, porque ambos están al servicio de su propio desarrollo. Los Centros CEMÉA contribuyen a desarrollar una educación activa, basada en la actividad de cada persona dentro de un grupo. Los CEMÉA tienen una gran participación en el sector de la coordinación.

UN ÓRGANO DE CONSULTA

Los CEMÉA ofrecen evaluaciones y asesoramiento sobre la capacitación que permiten la realización de proyectos, basados en pedidos específicos. Además, los CEMÉA prestan asistencia a las comunidades locales en acciones educativas orientadas a la juventud.

Los CEMÉA, un movimiento por la Educación Popular y una Nueva Educación, contribuyen al cambio social.

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Publié dans América Latina y el Caribe, Federaciones miembro, Martinica (ceméa Francia)

Los Centros Ceméa de Reunión

 

Presentación

Los Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Éducation Active, CEMÉA (Centros de Capacitación en Métodos de Educación Activa) constituyen un movimiento por una educación nueva, una asociación de educación popular y un centro de capacitación, y participan en áreas relacionadas con la juventud, la educación formal y no formal, la asistencia social y la cultura, y a escala internacional.

El objeto de la asociación es difundir los principios de la nueva educación. La asociación, declarada de utilidad pública por la Ley 1901, es socia en la enseñanza pública y está habilitada para enseñar por el Ministerio para la Juventud y los Deportes y el Ministerio de Educación Nacional.

La delegación regional de Reunión existe desde hace 50 años y se basa en una red de militantes (instructores de animadores voluntarios, pasantes de capacitación profesional, maestros…), así como en su equipo permanente, formado por 21 personas y 8 jóvenes que prestan un servicio cívico, como embajadores de los derechos de los niños.

Actividades

Los Centros CEMÉA de Reunión participan activamente en varios sectores y generan actividades interdisciplinarias.

Sectores

  • Animación: capacitación de animadores y directores de la animación no profesional  (BAFA y BAFD), capacitación de animadores profesionales (CQP, BPJEPS y DEJEPS) y grupos de reflexión temáticos.
  • Sociedad y salud: capacitación de proveedores de cuidados a domicilio, convalidación del aprendizaje a través de la experiencia (VAE, en francés), el respaldo de proyectos en el ámbito de la Economía Social y Solidaria.
  • Políticas educativas y prácticas culturales: formación de los padres sobre el significado de la escuela, educación de alumnos instructores, campañas de lucha contra la deserción escolar, vínculos entre la educación formal y no formal, organización de cafés pedagógicos, organización de “Échos du Festival du Film d’Éducation” y Reuniones Mundiales Descentralizadas de Software Libre.
  • Desarrollo y prospectiva de áreas.
  • Proyectos de Movilidad y trabajo en Europa e internacional, cuyo objetivo es formular acciones de movilidad en el centro de la educación profesional, promover la acogida y el envío de pasantes del Servicio Voluntario Europeo (SVE, en francés) e implementar asociaciones estratégicas en una política de la zona del Océano Índico.

Los Centros CEMÉA Reunión, en calidad de CEMÉA Francia, son miembros de la FICEMÉA (una organización internacional que aúna la acción de sus organizaciones miembro para promover métodos de educación activa, la educación nueva en la mayor medida posible, y para contribuir a la transformación de las prácticas educativas y sociales en todo el mundo).

Realizamos un proyecto para trabajadores jóvenes, en colaboración con la asociación Eiva de Rumania, para desarrollar proyectos que favorezcan la inclusión de los jóvenes que tengan menos oportunidades.

Este proyecto, Connexions E + Reunión Rumania, nos ha permitido ampliar nuestra red de socios europeos y enriquecer nuestra experiencia en la organización de proyectos a escala europea.

Nuestra primera recepción de voluntarios europeos tendrá lugar en el marco del proyecto “Les échos du festival européen du film d’éducation“. Recibiremos a dos voluntarios llegados de Rumania, quienes participarán en nuestras intervenciones culturales y sociales y en la organización del festival en el ámbito local.

Cada proyecto de acogida de voluntarios incluye la posibilidad que tienen los jóvenes de inscribirse en un curso de capacitación BAFA y la participación en acciones culturales, realizadas en el territorio y en fines de semana temáticos, relacionados con el intercambio de buenas prácticas.

Desde julio de 2015, los Centros Ceméa en Reunión conducen el proyecto SOTLAMER, la plataforma de movilidad no formal, enfocada en los jóvenes de Reunión. Se invitará a los próximos voluntarios europeos a que participen en la dinamización de esta plataforma en el territorio y en el nivel europeo.

El público de interés de la asociación son los jóvenes y adultos que participan en acciones y en la enseñanza, así como toda persona interesada en áreas de la educación no formal. Las asociaciones, comunidades y centros educativos pueden trabajar en nuestros proyectos.

Dirección

Ceméa Réunion

43 Route du Moufia

Rés. Mercure

97490 STE CLOTILDE

Teléfono: 0262 21 76 39

Persona de contacto

Marie-Julia Pohoski

Teléfono: 06 92718740

www.cemea-reunion.org/

 

 

 

 

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Publié dans Europe, Federaciones miembro, Isla de la Reunión (Ceméa Francia)

Ceméa Suiza, Delegación de Tesino

 

 

 

 

Presentación

Los Centros Ceméa de Tesino son un organismo de capacitación en educación no formal, fundado principalmente sobre la base del voluntariado y la militancia de sus miembros. Los Centros están reconocidos por el gobierno del Cantón de Tesino en Suiza.

La Delegación de Ceméa en Tesino participa activamente en los ámbitos de formación siguientes:

– Animadores de colonias residenciales para el tiempo libre.

– Educadores en el área de la primera infancia.

– Educadores en centros de actividades extracurriculares.

Además, los Centros CEMÉA en Tesino administran un servicio de información, capacitación y asesoramiento sobre temas relacionados con la juventud y la familia. La página web en Internet ofrece distintos servicios gratuitos y funcionales para crear actividades educativas, por ejemplo, un banco de datos gratuitos con fichas de juegos, cantos y reflexiones teóricas, un servicio de búsqueda de asociaciones, una base de datos para el alojamiento de grupos…

Actividades

El equipo de capacitadores está formado por maestros de escuela primaria, jardín de infantes y escuelas especiales para personas discapacitadas, trabajadores sociales y educadores.

El secretario general de la Delegación de Ceméa en Tesino, Paolo Bernasconi, es asistente social y tiene un Diploma en Estudios Avanzados (Certificate of Advanced Studies, CAS) en “Animación de procesos creativos en la capacitación social y de la salud”.

El presidente es docente en una escuela de educación primaria.

 

Dirección

Ceméa, Delegación de Tesino

Via ag Maspoli 37

CH- 6850 Mendrisio

Teléfono: 00 41 91 630 28 78

Página web: www.cemea.ch

Persona de contacto

Paolo Bernasconi

paolo.bernasconi@cemea.ch

 

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Publié dans Europe, Federaciones miembro, Non classé, Suiza

UNESCO: Global Citizenship Education – Topics and learning objectives

This publication is the first pedagogical guidance from UNESCO on global citizenship education. It is the result of an extensive research and consultation process with experts from different parts of the world. This guidance draws on the UNESCO publication “Global Citizenship Education: Preparing learners for the challenges of the 21st century” and the outcomes of three key UNESCO events on global citizenship education.

This publication is available here: http://unesdoc.unesco.org/images/0023/002329/232993e.pdf

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Publié dans Human rights, Thematic resources

Feedback from the Francophonie Summit

By Ficeméa

26 and 27 November 2016 will be remembered as a major victory for supporters of high-quality public education. At the summit in Madagascar, the 57 Member States of the International Organisation of La Francophonie adopted the Antananarivo Declaration which explicitly refers to the the problems associated with the commodification of education. This is the strongest statement ever made by heads of State against  commodification and in support of public education and regulation. It is a sign that efforts by civil society actors to raise awareness on the matter amongst State representatives and international bodies have been successful. It also shows how important all of our joint efforts in recent months have been.

The declaration included the following paragraph  “Recognising the development of commercial schools and educational institutes and supporting high-quality public education provided free of charge to everyone, we call upon the IOF and the  Conference of Ministers for Education in the States and governments of the Francophonie (Confémen), in cooperation with civil society, to continue the discussions started at the Kinshasa Summit (2012) and to take measures to promote effective institutional mechanisms for regulating private actors in the education sector in order to guarantee the quality and fairness of education services.”

Whilst the fact that so many Heads of State expressed such a clear position on the issue is an important step in itself, it is now essential that national authorities are held accountable for the implementation of this declaration.

Commodification of education – a multifaceted process

In recent years, the international community has witnessed unprecedented growth in the role of private actors in the education sector, with the result that education systems have been totally transformed in both the “South” and in the “North”. This also includes actors offering low-cost, poor quality services which target emerging and poor countries. Many investors, and multinational companies in particular, are involved on a large scale in the highly lucrative education “market”. The commodification of education is an insidious process that takes various forms and impacts both the formal and non-formal education sectors. It results in business ventures offering academic support, study coaches, ready-made “kits” for coping with dyslexia or dysorthographia, “educational” digital software etc.

This multifaceted phenomenon impacts the quality of educational content and knowledge acquisition. It leads to segregation between different areas of countries and different socio-economic groups, further widening social inequalities. As a result, it puts the right to education itself at risk.

The commodification of education is defined as the transformation of education into a profitable commodity. There are two types of commodification. First, the privatization of education, which is defined as increased control of the education sector by private actors. Secondly, it entails privatization of the educational methods used, i.e. the introduction of methods and approaches used in the private sector into the public education system.

Three major consequences can be identified:

  • Basic education becomes inaccessible and social inequalities are widened. A recent study[1] by Solidarité Laïque and the Global Initiative for Economic Social and Cultural Rights, in partnership with associations in Haiti, including the Ceméa Haiti, analyses the situation in a country where 84% of schools are private schools:  “Policies on access to education have not been the  much hoped-for catalyst for equal opportunities, but rather have helped further widen the inequalities that already existed.” One of the reasons for these inequalities is the cost of enrolment, which mainly affects the poorest households as it constantly increases. According to 62% of households, these excessively high costs and other financial barriers are the main reason that children aged between 3 and 16 years are not sent to school. More than 90% of Haitian households also said that they either did not have or barely had sufficient resources to cover their basic needs, which means that children’s education is in jeopardy. »
  • Standardization of teaching methods. For example, the number of ‘Low Cost Schools’ is growing. Bridge International Academies Ltd (BIA) is a US-based profit-making company. It is the largest private business school chain in the world. Bridge International Academy schools are funded by Pearson, the Bill Gates Foundation and Facebook. These ‘low cost schools’ have been set up in Liberia (20 schools), Kenya (400 schools) and Uganda (63 schools). The concept is based on two keywords: rationalization by economies of scale and standardization. The Bridge Academy has designed teaching tools linked to lessons read out by the “teacher” from a tablet. The teacher becomes a simple ‘coach’ who is given a class after five weeks of training. The same content is taught in the same way in all schools at the same time. The Ugandan government has taken legal action to close Bridge schools because they did not meet minimum teaching standards.  However, the company still hopes to reach 10 million students by 2025.
  • Replacement of public funding (national and international) by partnerships granted to private companies which are more focussed on profit targets than educating the population. Let’s take the partnership between the Ministry of Education in France and Microsoft as an example. Since the financial stakes are high, the big digital companies – GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) in particular – try everything they can to impose their standards and their products, not only in terms of the equipment schools use but also, and above all, through teaching practices.

Combatting this commodification is a major challenge for all involved in defending the right to education for all, throughout life.

The statement by the IOF against commodification – a joint response at international level and a tool for advocacy

It is in this worrying context that a group of non-governmental organizations, trade unions, researchers and educational movements, including the Fédération Internationale des Ceméa, have created an international consortium to reflect on and take action on this issue. These actors are coordinating research and advocacy activities and also working on a methodology to identify the impact of privatization on human rights.

The Francophone members of this consortium have written a joint appeal from civil society that speaks out against the commodification of education and education systems. The text aims to alert public authorities and civil society actors to the issue and to raise their awareness of the inherent dangers connected with this process of commodification of education. It also urges them to take action to counter this process.

Today, our Appeal Against the Commodification of Education was signed by 302 civil society organizations from 38 countries.

This appeal now needs to be passed on, heard and debated. States, regional institutions such as the European Union and the African Union must, like the UN[2] and the IOF, protect and boost education as a genuine public good, and promote a vision of education as a driving force for individual, collective and social empowerment.

At national level, we have to call upon the various ministries in every country to take action, mobilize actors involved in educational matters and make proposals because the solutions exist.

We are able to link the local and international levels that are at play in our democracies. International policy guidelines should not be controlled by experts and technocrats alone. They are part of the public debate and must not be disconnected from everyday realities. Our role as actors on the ground and educators is to work with people on these fundamental issues. We must enable citizens to take ownership of national, regional and international policies in order to participate in the debate, understand the issue and be able to act on the policies that shape the future of our societies.

Education is not a commodity it is a right! We want every individual to be able to exercise it.

Sonia Chebbi,

Permanent Delegate at the International Federation of Centers for Training in Active Education Methods (Ficeméa)

___________________________________________________________

The mission of the International Organization of La Francophonie (IOF) is to embody the active solidarity between its 84 member states and governments (58 members and 26 observers). It is a community that shares the same destiny and is conscious of the links and potential that come from sharing a language, French, and universal values.

The IOF aims to improve the living standards of its populations by helping them to become actors in their own development. It provides member states with support to develop or consolidate policies and implements international policy and multilateral cooperation activities, in accordance with the four main missions adopted at the Francophonie Summit:

  • • promote the French language and cultural and linguistic diversity;
  • · promote peace, democracy, and human rights;
  • • support education, training, higher education, and research;
  • Develop cooperation activities that support sustainable development

 

[1] Study [in French] entitled Haïti, enseignement privatisé, droit à l’éducation bafoué [Haiti, privatized education, right to education ignored], an alternative report supported by 10 Haitian and international organizations published on the occasion of the Universal Periodic Review of Haiti in November 2016.
[2][2] In a resolution adopted  by the Human Rights Council in July 2016, the United Nations urges States to “address[..] any    negative    impacts    of    the commercialization  of  education”.
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Publié dans Commercialization of education, In the media

60 ans des Ceméa de Madagascar

La célébration des 60 ans des Ceméa Madagascar se déroulera tout au long de l’année. Elle a démarré par un regroupement de tous les membres au nouvel an pour rentrer ensemble dans cette soixantième année.

Pour les 50 ans, en 2007, les Ceméa de Madagascar ont construit les nouveaux locaux dans lesquels certain.e.s ont été hébergé.e.s au cours de différents évènements et notamment lors de la rencontre internationale de la Ficeméa sur la thématique « Construire une citoyenneté active pour un monde durable ». Cette année sera sous le signe de l’aménagement de l’espace avec en Mars 2017 le débroussaillage de la propriété, le reboisement du parc et la plantation de plantes autochtones.

La culture est aussi au rendez-vous avec l’organisation d’une exposition en avril sur l’histoire des Ceméa de Madagascar. Un moment spécifique sera proposé aux stagiaires en formation et aux invités lors d’une rencontre intitulée “Reflets du stage”.

Le 10 juin une fête sera organisée autour d’un « déjeuner retrouvailles dansantes » accueillant toutes les générations ayant côtoyé les Ceméa de Madagascar dans leur longue histoire.

Puis un autre temps plus centré sur l’extérieur permettra aux Ceméa de chanter des chants traditionnels dans les quartiers lors de la fête nationale.

Pour terminer la célébration, une colonie de vacance spéciale pour les formateurs et leurs familles sera organisée pour à la fois se retrouver entre soi, réfléchir, vivre ensemble et surtout partager…du temps !

 

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Publié dans Ceméa M

50 ans des Ceméa Gabon

Les Ceméa du Gabon profiteront du cinquantenaire de leur mouvement pour organiser la rencontre de la commission régionale Afrique qui se tiendra au mois d’Aout 2017 sur la question du décrochage scolaire en Afrique.

Ils reviendront sur l’histoire du mouvement au Gabon et proposeront une série de témoignages et de films sur les colonies de vacances afin de retracer l’aventure des Ceméa au Gabon.

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Publié dans Gabon