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Du 26 au 28 Mars s’est tenu à Montevidéo en Uruguay le premier Ciclo de cine y educacion.
Lors de ces trois jours, des films de tous les continents ont été diffusés : de la République Tchèque au Chili en passant par la France en format court et long suivi de débat.
Il s’agit d’offrir à un très large public citoyen (parents, responsables politiques, associatifs ou de collectivités locales, professionnels de l’éducation, enseignants, éducateurs et animateurs) un lieu et un moment privilégiés pour voir les œuvres de réalisateurs de fictions ou de documentaires, les rencontrer et débattre ensemble des grandes problématiques sur l’éducation, l’enfance et la jeunesse, ainsi mises à l’écran.
Le festival du film d’éducation est un espace “d’éducation populaire”, articulant le “voir” des films avec le “parler” de grands témoins, qui permet de défricher encore et toujours les questions de l’éducation. Les films proposés racontent des histoires d’éducation, qui font écho à nos préoccupations les plus actuelles. Ils nous montrent, à partir d’une action organisée et intentionnelle, d’un événement ou d’une rencontre, des parcours de vie choisis ou subis, des situations de transmission, d’initiation ou d’apprentissage, des périodes de ruptures, dans un cheminement qui transforme un ou des personnages, et fait qu’ils ne sont plus les mêmes à la fin. Des films qui , au-delà de l’émotion qu’ils suscitent, invitent le spectateur au questionnement et ouvrent des possibilités de réflexion individuelle ou collective .
Le film d’éducation est porteur de ce qui fait tenir l’homme debout, ce qui l’empêche de s’avachir dans le présent : le souci du futur.
Suite au séminaire de la Ficeméa sur la marchandisation de l’éducation, nous développons de nouveaux contacts avec d’autres organisations travaillant sur la question de la privatisation de l’éducation. La Ficeméa a rejoint un réseau luttant contre la privatisation de l’éducation plus spécifiquement dans le champ de l’éducation formelle, qui est coordonnée par la Global Initia-tive for Economic, Social and Cultural Rights, le Right to Education Project, et la Privatisa-tion in Education Research Initiative : http://privatisationeducationhumanright.ning.com/. Ces organisations travaillent en coordination avec une cinquantaine d’autres organisations sur la question de la privatisation de l’éducation. En particulier, elles:
1. Conduisent un plaidoyer international sur la privatisation de l’éducation auprès des acteurs régionaux et internationaux tels que l’ONU, la Banque Mondiale, la Banque Africaine de Dé-veloppement, etc.
2. Conduisent des recherches dans 9 pays (Kenya, Ouganda, Ghana, Chili, Brésil, Népal, Pakistan, Maroc et Grande-Bretagne) et produisent des rapports qu’elles présentent aux or-ganes de droits de l’Homme de l’ONU pour ensuite faire un plaidoyer au niveau national.
3. Coordonnent leurs activités, recherches, et actions respectives sur le sujet, et conduisent des réponses communes aux développements, comme cette réponse à un rapport de la Banque Africaine de Développement promouvant la privatisation de l’éducation : http://bit.ly/Afdbfr
4. Analysent le droit international des droits de l’Homme pour, en consultation avec les organi-sations locales, travailler à développer des principes de lutte contre la privatisation de l’éducation et pour le développement des droits de l’Homme.
5. Développement une méthodologie pour travailler sur la privatisation et les droits de l’Homme qui peut être utilisée par tous.
L’enjeu du réseau est de démontrer que la privatisation de l’éducation est contraire aux droits de l’homme, par exemple du fait des discriminations et des inégalités qu’elle entraine. En ef-fet, selon les conventions internationales des droits de l’Homme, les Etats sont les garants et les responsables du respect, de la protection, et de la mise en oeuvre du droit à l’éducation, et la liberté éducative doit se faire dans le respect des règles de droit protégeant la dignité de chacun. La privatisation affecte également la question de la participation démocratique et re-met en cause d’autres droits humains.
Actions récentes :
Au Maroc :
Un collectif d’organisation a élaboré une série de rapports parallèle concernant les discrimina-tions dans l’éducation générées par la croissance anarchique de l’enseignement privé au Maroc , ainsi que les risques qu’engendreraient pour les droits de l’Homme, et plus particulièrement pour le droit à l’éducation, l’adoption de partenariat public-privé (PPP) dans l’éducation. Voir le résumé du rapport http://bit.ly/resumevisuelmaroc et la page du travail sur le Maroc http://bit.ly/PrivatisationMaroc.
Extrait du communiqué de presse
Le Comité des Droits Economiques Sociaux et Culturels de l’Organisation des Nations Unies (CDESC) a récemment publié un document faisant état d’une liste de points (questions) pour le Maroc, auxquels le gouvernement doit répondre par écrit dans les prochains mois.
Le collectif d’organisations, qui regroupe la Coalition Marocaine pour l’Education Pour Tous, la Fédération Nationale des Associations de Parents d’Elèves du Maroc, la Global Initiative for Economic Social and Cultural Rights, le Mouvement Anfass Démocratique, Bayti, l’Union des Etudiants pour le Changement du Système Educatif, Zaynoo pour l’Egalité des chances, ainsi qu ’ATTAC Maroc, a révélé avec une grande inquiétude dans son rapport parallèle con-cernant les discriminations dans l’éducation générées par la croissance anarchique de l’enseignement privé au Maroc , ainsi que les risques qu’engendrerait pour les droits de l’Homme, et plus particulièrement pour le droit à l’éducation, l’adoption de partenariats pu-blic-privé (PPP) dans l’éducation.
Cette interpellation du Maroc par le CDESC fait suite à des recommandations similaires du Comité des droits de l’Enfant de l’Organisation des Nations Unies de septembre 2014. Sur la base d’un travail de recherche d’un groupe d’organisations, cet autre comité d’experts de l’ONU avait dénoncé le développement incontrôlé de l’enseignement privé au Maroc, notant qu’il avait conduit « au renforcement des inégalités dans la jouissance du droit à l’éducation ».
Un travail similaire a été fait ou est en train d’être fait dans les autres pays sur lesquels ils tra-vaillent. Toute autre organisation intéressée dans d’autres pays peut se joindre, directement, ou à travers la coalition nationale pour l’éducation pour tous, et s’engager dans un travail similaire sur la privatisation de l’éducation et les droits de l’Homme. Le but de ce réseau d’organisation et de créer un large débat prenant en compte divers points de vues, et de fédérer une large coalition d’acteurs qui refusent la marchandisation de l’éducation. »
Pour plus d’information veuillez consulter le site internet : http://bit.ly/privatisationproject
Pour lire l’intégralité du rapport cliquez ici
Pour lire le communiqué de presse cliquez ici
Pour plus d’information veuillez consulter le site internet : http://globalinitiative-escr.org/
2015 est une année spéciale pour le développement. C’est la première fois que l’Union européenne (UE) consacre une Année européenne à son action extérieure et au rôle de l’Europe dans le monde. Pour les organismes œuvrant dans le domaine du développement partout dans l’UE, c’est une occasion unique de faire connaître l’engagement de l’Europe en faveur de l’éradication de la pauvreté dans le monde et d’inciter davantage d’Européens à s’engager dans des actions pour le développement. C’est également en 2015 que les objectifs du Millénaire pour le développement, fixés en 2000, arrivent à échéance et que la communauté internationale décidera d’un nouveau cadre mondial pour l’éradication de la pauvreté et le développement durable.
Pendant la période 2014-2020, l’Europe consacrera 75 % de l’aide aux pays les plus pauvres, qui sont en outre souvent durement touchés par des catastrophes naturelles ou des conflits fragilisant encore plus leurs populations.
Les décisions sur la destination de l’aide et les actions à entreprendre sont prises en collaboration avec les pays en développement. Vous trouverez de plus amples informations sur ce principe d’«appropriation par les pays» dans le «programme pour le changement» de l’UE. Ce document explique également qu’à l’avenir, l’aide de l’UE va se centrer davantage sur la bonne gouvernance, les droits de l’homme, la démocratie, la santé et l’éducation, mais aussi sur l’agriculture et l’énergie. http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX%3A52011DC0637&qid=1412922281378.
L’UE possède 139 délégations et bureaux dans le monde entier.
Pour plus d’information consultez le site internet : https://europa.eu/eyd2015/fr/content/about-2015
L’équipe du Pôle Europe et International des CEMEA France s’agrandit. En effet, deux nouvelles personnes ont rejoint l’équipe jusqu’à fin août. Vous trouverez ci-dessous, l’organisation du pôle complété avec ces nouvelles personnes :
• Isabelle Palanchon : responsable du Pôle Europe et International
isabelle.palanchon@cemea.asso.fr
• Flavien Degoulet : chargé de mission Jeunesse Mobilité
flavien.degoulet@cemea.asso.fr
• Delphine Léger : chargé de mission Volontariat et coopération
delphine.leger@cemea.asso.fr
• Sofiane Fahrha : en charge des activités éducation interculturelle
sofiane.fahrha@cemea.asso.fr
• Skaiste Masalaityte : en charge d’une recherche sur la Laïcité
skaiste.malaityte@cemea.asso.fr
En 2002 un projet est né, initié par le président fondateur de l’Association Algérienne Enfance et Famille d’accueil (AAEFAB) , Feu Temi Tidafi, avec le concours d’un consortium de trois ONG étrangères « EMDH ; CEMEA FRANCE ; Santé Sud »;
Le projet intitulé : Amélioration de la prise en charge de la petite enfance et la création d’un Institut Méditerranéen de la Petite Enfance (IMPE) ».
L’objectif du centre était double :
-Capitaliser les expériences de l’AAEAFB et des experts de la petite enfance pour développer un pôle d’information, d’orientation et de diffusion des savoirs sur la petite enfance
-diffuser ces expériences en créant un lieu de rencontre des professionnels où l’échange des expériences et la confrontation des connaissances seront le maître mot.
Ce projet IMPE s’organise autour de 3 axes complémentaires :
1. La pouponnière de référence de l’AAEFAB « Djenène El-Kheir » de Hadjout (w.Tipasa),
2. L’école de formation de « Berceuses » implantée au centre « Amel – Témi TIDAFI » Palm Beach Satouéli (w.d’Alger).
3. Un centre ressources documentaires, siège de l’IMPE destiné aux professionnels de la petite enfance, les étudiants et les chercheurs du domaine.
Aujourd’hui, faute de financement, les activités du centre sont à l’arrêt. L’enjeu est de ré-impulser la dynamique afin de faire de l’Institut un lieu privilégié où les étudiants, chercheurs, professionnels et associations concernés par la petite enfance, pourraient y trouver tout à la fois les outils bibliographiques et documentaires, des bases de données, des synergies associatives et des personnes ressources.
Les activités du centre concerneront tous les domaines qui ont trait à la petite enfance, en l’occurrence la puériculture, la pédiatrie, la psychologie, les sciences sociales, enfants en collectivité, protection de l’enfance etc.Il sera à même d’offrir divers services dont la consultation sur place et la reproduction sur divers supports d’information :
– Livret du parent kafil,
– Manuel pédagogique, « Capitalisation de l’expérience AAEFAB » ,
– Édition du livre « Le maternage insolite », version arabe.
Afin de financer une partie de ce projet l’AAEFAB a choisi de réaliser un ouvrage d’art faisant la promotion de jeunes talents et rendant hommage aux talents reconnus.
Descriptif de l’ouvrage « L’enfance au cœur » .
Dans toute l’histoire de l’art et de la littérature, des auteurs, poètes, plasticiens et illustrateurs ont conjugué leurs talents pour créer ensemble des livres d’artistes, où textes et images se renforcent ; ces “objets d’art allient la force ou l’humour des mots, la sensualité du papier et la beauté d’une composition plastique” .
« L’Enfance au cœur » a fait l’objet d’une première édition en 1987, puis une réédition en 2003. Avec comme auteurs prestigieux la liste ci-dessous.
Echéance du projet.
1- Rassembler 40 œuvres artistiques autour du thème de l’enfance : peinture, photo, sculpture, texte et poésie…
2- Organiser une exposition vente avec présentation du livre et conférence de presse,
3- Lieu de l’exposition des œuvres, option pour « Dar Abdellatif »,
4- Partenaires (option pour) : AARC, Agence Algérienne pour le rayonnement culturel, les Éditions du Tell…et entreprises mécènes (en cours de prospection),
5- Date prévue de l’exposition : 20 novembre 2015, date anniversaire de la proclamation des droits de l’enfant et date anniversaire du décès du fondateur de l’AAEFAB. « Feu Temi Tidafi »,
6- Distribution et diffusion du livre courant mois de décembre qui célébrera le 28ème anniversaire de la création de l’AAEFAB.
Depuis la Rencontre du Bénin en mars 2014, la Zone Afrique a pris la résolution de se retrouver chaque année pour d’une part, resserrer les liens qui fondent notre appartenance et notre militantisme aux idéaux et à l’action de la FICEMEA et, d’autre part, engager ou poursuivre la réflexion qui aboutisse un jour à l’amélioration du bien-être humain de nos populations. L’Afrique se sentira toujours interpellée par les grands problèmes mondiaux. Si le problème de l’éducation, et partant de la scolarisation, est universel, il se pose toutefois en Afrique avec des particularités évidentes.
La Rencontre de Côte d’Ivoire qui se déroule du 25 au 31août 2015 à l’Institut de la Jeunesse et des Sports, INJS, d’Abidjan souscrit à la dynamique de la réflexivité qui caractérise l’action de la FICEMEA et de nos associations nationales membres. Le thème choisi est La problématique de la gratuité de l’école en Afrique. Ce thème est fort expressif parce qu’il révèle un problème réel qui existe dans nos communautés. Même si l’école est déclarée officiellement gratuite dans la plupart des pays, elle reste de toute évidence coûteuse. Quels sont les fondements de la notion de gratuité de l’école ? Pour qui est conçue cette gratuité ? Quelle est, par pays, son envergure ? L’école peut-elle être véritablement gratuite ? Qu’est ce qui cause problème en réalité ? L’applicabilité du concept ? Son sens ? Quelle est la perception de la Zone Afrique de la FICEMEA de cette problématique ? Et quelles sont les suggestions de la Zone ? Autant de questions et bien d’autres auxquelles devront répondre les participants à la Rencontre d’Abidjan.
Moulue dans la perspective de la refondation enclenchée à Namur en Belgique en novembre 2014, la Zone Afrique veut aussi se saisir de l’opportunité d’Abidjan pour penser son fonctionnement et celui des Associations nationales membres. Devant des exigences de financement et de gouvernance, il est absolument indispensable d’établir les canons d’une organisation efficace et efficiente.
Alexandre Ateba, Responsable de la Commission régionale Afrique
La Fédération internationale des Centres d’Entraînement aux Méthodes d’Éducation Active (Ficeméa) regroupe une quarantaine d’associations avec une implantation territoriale en Europe, Amérique du Sud, Afrique, Océan indien. Notre fédération travaille depuis 60 ans pour la promotion de l’Éducation nouvelle dans une volonté de transformation des pratiques éducatives et sociales.
L’Éducation nouvelle a pour but l’émancipation des individus tout au long de leur vie, leur formation en qualité de citoyen afin de promouvoir la vie démocratique. La transformation des pratiques éducatives permet l’émergence de nouveaux rapports entre individus et consolide la société civile. Penser l’Éducation nouvelle ne peut se faire que dans une perspective internationale qui place l’humanisme au coeur du notre projet politique. L’Éducation nouvelle se fonde sur la liberté de l’initiative, de la création, de l’expression, l’importance de l’affectivité, la construction de la personnalité par l’individu lui-même, dans son milieu de vie. Notre approche éducative crée des situations où chacun, enfant, adolescent, adulte, peut être plus conscient du monde qui l’entoure, se l’approprier, le faire évoluer, le modifier dans une perspective de progrès individuel et social. L’Éducation nouvelle telle que nous la pensons et la vivons participe de la transformation de la société. Elle modifie les rapports de force et de pouvoir, les modes d’organisation, en valorisant l’exercice de la liberté individuelle.
La Ficeméa est un outil politique pour ses membres qui visent/pratiquent l’Éducation nouvelle.
Elle a pour rôle de :
La Ficeméa a pour objectifs de :
La spécificité de notre fédération repose sur la prise en compte de tous les publics pour une éducation tout au long de la vie. C’est un mouvement global à destination de toutes les tranches d’âges dans une perspective de rencontres intergénérationnelles et interculturelles.
Ces thématiques se déclinent dans des projets de développement culturel, sociaux, et économiques.
La force des associations de la Ficeméa est de s’appuyer, en fonction de leur objet de travail, sur la recherche dans les différents domaines : médecine, biologie, sociologie, psychologie. Les méthodes pédagogiques initiées par les associations membres sont enrichies et construites en interaction avec le secteur de la recherche. En effet, de nombreux chercheurs-ses se sont impliqué-es dans les associations de la Ficeméa. Cette dimension est fondamentale pour être force de proposition en pédagogies innovantes. L’articulation entre des dynamiques de réflexions théoriques et le travail de terrain des associations est porteuse d’innovation.
Téléchargez notre présentation de la Ficeméa
Depuis les réunions de 2002 et 2003, les forums sociaux à toutes les échelles sont régis par la Charte des principes du Forum social mondial, dont les principes les plus importants sont :
• L’opposition à l’ordre « néo-libéral » caractérisant la mondialisation actuelle,
• L’ouverture à tous les courants idéologiques pour les projets alternatifs,
• L’absence des partis politiques en tant que tels.
Du 23 au 28 Mars 2015, Le Forum social mondial se tiendra pour la deuxième fois à Tunis. Ce temps de rencontre entre militants associatifs et syndicaux du monde entier est un évènement majeur pour la société civile. Cette espace permet aux différents acteurs de se rencontrer, d’échanger des expériences sur les luttes de chacun-e., d’apprendre à s’écouter, à identifier des convergences, de créer des liens dans l’horizontalité et dans le respect de la diversité.
La FICEMEA avec le soutien de l’association Les amis du Belvédère (membre de notre réseau) animera, collectivement, un stand où nous pourrons débattre, échanger, relayer nos positionnements, faire valoir notre travail et nos actions auprès d’acteurs engagés venus des quatre coins du monde. Cet évènement sera le fer de lance de notre action de plaidoyer international autour des Mécanismes et des conséquences de la marchandisation de l’éducation.
Nous vous invitons à rejoindre cette nouvelle étape de notre action pour changer le monde.
Pour plus d’informations sur l’organisation de l’évènement rendez-vous sur le site internet fsm2015.org ou contactez Sonia Chebbi, email : sonia.chebbi@cemea.asso.fr